Province calme? Peut-être pas![Pv Vincent, Hunter et Lilianne]

Maitre Assassin Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 13/03/2009

Je me suis levé tôt ce matin, pour m'amuser un peu. Moi et Vincent nous nous sommes donné rendez-vous à Béryl dans la soirée pour voir si cette province est vraiment si calme qu'on le prétend. Je me suis levé pour allumer la télévision, me verser des honeycombs avec du lait, je me suis pris une cuillère et je suis aller m'installer sur le sofa, devant la télévision. Une nouvelle m'intéréssa plus que les autres, la fille d'un célèbre banquier de Béryl allait manger au resto ce soir en compagnie de son père et du maire, quoi de mieux. Un plan ce formait déjà dans ma tête, je séduis cette dame, je couche avec et je la tue pendant que Vincent, s'amuse avec la sécurité et peut-être le maire. J'aimais sa, ensuite, nous pourrions se remplir les poches et acheter toutes les bars de stripteases de toutes les provinces!

Je me suis levé, j'ai lancer mon bol par la fenêtre, tente pas de faire de vaisselle, je me suis habillé et je suis sortis par la fenêtre. Avec ma griffe, je pouvais descendre de n'importe où, je glissais le long du mur jusqu'à dans la ruelle où j'avais stationner ma BMW. Je me suis mis à rouler en écoutant du rock/métal toute le long de la route, je faisais des queus de poisson à tout le monde en leurs faisant un doigt d'honneur. Je dépassais la limite de vitesse, mais en tant que membre de l'inquisition, j'avais presque tous les droits!

Je suis arrivé à Béryl aux alentour de midi, pourquoi pas m'amuser un peu. Je me suis stationner devant un bars, un peu élégant, et je suis sorti de ma BM. Je suis rentrer à l'intérieur et je fus heureux que le batiment de notre rendez-vous ne soit pas loin d'ici et en plus pas loin du resto du banquier et sa fille. Je vis une fille qui me faisais de l'oeil, victime du midi. J'ai demander au barmen de lui donner une bière et cinq minute après, elle est venu me voir avec la bière. Elle avait dans les alentours de vingt ans, peut-être encore fraiche, elle est blonde, yeux vert et elle est assez bien équiper, dommage qu'elle doit mourrir si jeune.

-Salut, c'est vous qui m'avez offert cette bière jeune homme?

Quoi lui répondre, comme d'habitude, bien sûr, et vous seriez surpris de ce que je peux vous offrir d'autre. Pourquoi pas, et encore plus, elle n'avait aucune bague aux annullaires, elle était à moi.

-Bien sûr, et vous seriez surpris de ce que je peux vous offrir d'autre.

Elle est partit à rire et nous avons continuer de parler un peu, une heure plus tard, on était dans une chambre. Elle avait été épaté de voir que j'avais une griffe, je lui avait expliquer que c'est parce que j'ai perdu ma main et elle ma crut! Après toute l'action, dont je vais épargner les détails, je l'ai regarder dans ls yeux, elle était tout endormie et j'ai dit simplement.

-Fait de bonne nuit.

J'ai pris mon index de ma griffe et je lui ai tranché la gorge, bang, morte. Ils allaient surement dire qu'un assassin de femme traine dans les allentour de Béryl, mais sa allait être annoncer seulement demain. Je me suis rhabiller et j'ai regarder l'heure, trois heures. Le rendez-vous avec Vincent était dans une heure et j'ai décider D'y aller à l'avance au lieu de commencer quelque chose d'autre. J'ai embaarquer dans ma BMW pour arriver, en roulant lentement et en fumant en conduisant, en trente minute, pourtant, ce n'était pas si loin. On s'avait fixer rendez-vous à quatre heure en haut de ce haut bulding, il était tant d'escalader. Il était coller à un autre immeuble et avec celui-ci, j'ai fais du saut de mur en mur, jusqu'en haut du plus petit bulding. Pour grimper le reste de l'autre immeuble, j'ai sauté dessus, je me suis accroché avec ma griffe pour ensuite prendre une tuyauterie. Je me tennais parfois après des fenêtres des morceaux de brique qui dépasse pour monter plus vite qu'avec les tuyaux. Je suis arriver en haut en vingt-cinq minute, cinq minutes d'avance. Je me suis assis sur le bord et d'ici, je pouvais déjà voir de la protection pour protéger tous ces riches, ils allaient surement faire des cauchemards cette nuit, si ils réussissent à revenir chez eux....en vie.

[Idée: Les chevaliers pourrait protéger la fille du banquier, le maire et le père de la fille, moi et Vincent allons attaquer, moi plus subtillement pour la fille. Vous pouvez faire avec vos propres idées, mais moi c'est ma suggestion lol]

Il est 4:27 am, impossible de dormir. La simple idée du sang qui coulerait ce soir me donnait des frissons d'extase. Ce n'était pas la prmière fois, que j'allait tuer, loin de là. Mais c'était préparait bien trop d'avance pour moi, comment pourrais-je patienter pendant près de douze heures? La vie est trop banale pour être gâché à attendre. Je devait trouver un moyen de passer outre ces longues heures. À quel heure fermait et ouvrait les casino déjà? Ah merde! C'est pas croyable comme ces endroits sont rarement ouverts aux bels heures. aller dans un bar serait trop peu divertissant, il me faut quelque chose de mieux...Mais quoi? Jouer en ligne n'est pas assez bien, le Poker c'est un jeux d'expression et de réaction. Pas de : "Il s'est mit tapis, il doit bluffer!". À une heure pareille, rien n'était intéressant...

Il était maintenant 4:28 am, toujours rien à faire, et je ne pourrai pas dormir avant longtemps. Contrairement à mon confrère Édouard, je ne trouver pas plaisir à séduire des femmes, coucher avec et ensuite les tuer. Je n'avait rien fait avec une femme depuis longtemps, même très longtemps. Cela remontais à mes 19 ans. Dans ce temps, je n'était pas moi...enfin si, mais pas mon moi présent. Je n'ai plus gouté à une femme depuis lors. Enfait, j'avait complètement oublier ce que cela fesait, et ce suivant mon changement psychologique. Peut-être étais-je dût pour assouvir ces besoins...Mais quel besoins? Je ne ressens rien de tel. Les seuls besoin que j'ai sont ceux de tuer, point barre...

Il est déjà 4:30, c'est fou comme le temps passe vite...Béryl est à seulement deux heures de route, peut-être trois. Pourquoi est-ce que nous avons prévue cette tuerie autant d'avance, pourquoi? Je devrais prendre quelques somnifères, je ne serai jamais capable d'attendre sinon...

Je me suis donc levé, à 4:31, pour aller chercher des somnifères à la pharmacie du coin. Je n'avait pas besoin qu'elle soit ouverte, je les aurait tout de même voler mes pillules. Ce fut très simple, je suis entré par le mur et j'ai pris la petite bouteille dans la réserves arrière, pendant que la caméra ne pouvait pas voir mon bras qui déroba le contenant à médicaments. En retournant à la Caserne, j'ouvrit le pot et en avalai la moitié du contenu...

À 4:40 dans mon lit, je tombe endormi, pour qui sait combien de temps...

Seize heures, je suis derrière Édouard depuis qu'il est arrivé. J'attendais depuis cinq longue minutes qu'il se retourne. Je m'étais réveiller à 14:27 et j'étais ensuite parti dans une Buggati qui passait par là...Je l'avais laisser au pied de l'immeuble, devant un parcomètres dont j'avait "accidentellement" arracher le conteur. J'étais ensuite entré dans le mur pour ressortir sur le toit, derrière Édouard. En lui tapant sur l'épaule, il se retourna aussitôt, et je lui lançai d'un ton gris :

- Il était temps que tu te retourne l'Obsédé Sexuel...

[Aller les Agneau, vener voir Messieurs les Loups....euh...les Bergers Smile

]

La moto offrait une rapidité étonnante, voir, exaltante. Hunter appréciait cette force et le vent qui fouettait son corps. Sa moto sport, une Yamaha bleue et grise pour être plus précis, fillait comme le vent entre les champs. À cette heure, les autos se faisaient rares et Hunter ne prenait pas les précautions nécessaires et souvent, il devait faire d'habiles manoeuvres pour éviter les véhicules venant en sens inverse. Heureusement, le Chevalier était habile à la moto.

Bref, Hunter se dirigeait vers une petite ville de Béryl où un banquier lui avait confié une mission à lui et Lili. En fait, il devait le protéger lui, sa fille et le maire. Les deux Chevaliers s'étaient alors empressés de faire leurs bagages et de quitter le ghetto vers cette petite ville. Évidemment, comme cette mission était dangeureuse, Hunter avait préféré laisser Akiro au ghetto au cas où des hommes armés tenteraient de les attaquer. Pire, des hommes de Ceros...

Les hauts-bâtiments de la ville indiqua à Hunter qu'il touchait à son but. Après quelques minutes, il arriva devant le repère où Lili et lui s'était donné rendez-vous. La bâtisse était dans un état plutôt lamentable, mais ce n'était qu'un point de répère...Patiemment, il attendit Liliann, en sirotant un Coke.

Cette mission m'avait pris de cours. De un, on devait absolument laissé nos écuyers derrière nous, comment pouvait-il apprendre si on les laissait de coté? Inutile de précisé que j'étais totalement contre cette idée. Malgré que je comprenais les motifs de Hunter, cela ne m'empêchait pas d'avoir une opinion différente. C'est donc à contre coeur que je laissais Jana derrière moi, me prometant de redoublé d'effort pour lui enseigner lors de mon retour.

La mission consistait à protéger, le banquier, sa fille et le maire. Je devais rejoindre Hunter à notre point de repère à Béryl. Mais, j'avais quelques petits trucs à faire avant. Vêtu d'une cape et quelques vêtements souples qui me permettrait une liberté de mouvement, j'avais fait l'acquisition de mes armes auprès du forgeron. J'avais la nette impression que cela allait être utile. Mais je m'interrogeait sur le pourquoi de cette soudaine garde rapproché. Malgré mon envie d'explorer les environs une fois sur les lieux, je m'en dissuada. Premièrement, si je tombais sur des membres de la FPA, je risquerais de faire trop de boucan pour passé inapercu et par le fait même, inquièté Hunter car j'allais en profiter pour m'amuser et risquerait d'arriver en retard.

Demi-sourire aux lèvres, je me dirigeais vers ma maison, m'assurant ainsi que Miea n'allait pas me suivre et qu'elle était en sureté. Après en avoir la confirmation, je mit mes lunettes fumés, mon casque par dessus et je chevauchais ma moto d'un noir métalique avec des signes tribales en argent sur chaque côté. Couché dessus,je filais à toute allure. Je fus là dans le temps de le dire. Je repérais ce fameux bâtiment délabré et un Hunter savourant un Coke. À cette instant précis, je me disais qu'une chose aussi banale que boire un Coke pouvait donné l'impression que la paix était là et que nous étions aucunement menacé. Fallait vivre dans un conte de fée pour pensée de la sorte car ce n'était point la réalité. Et nous étions là pour défendre et remplir les missions qui allait faire penché la balance en notre faveur. C'est en me dirigeant vers lui, enlevant mon casque et le scruta à travers mes lunettes fumés que je lui dit:

-Tiens tiens, alors on boit un coke en m'attendant.

Une fois à quelques mètre de lui, je m'arreta et attendit une réponse de sa part. En espérant que les choses n'avaient pas trop évolué durant leurs absences.

Maitre Assassin Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 13/03/2009

Vincent était là, nous allions pouvoir commencer puisque je les voyais déjà arrivé. J'avais déjà un plan simple en tête, aller à l'intérieur et me faire passé pôur un serveur, tant que personne me reconnaisse. Je me suis tourner vers Vincent, il était louche comme mec, mais j'aimais bien tuer en sa compagnie. Je lui est exposé mon plan comme ceci.

-Tu vas être chanceux, je te laisse le plus amusant. Tu vas tuer le maire, le banquier et tous ceux à l'intérieur si tu veux, moi ma cible, c'est la fille. Je vais pas te dire ce que je vais lui faire, mais tu rentrera quand tu veux, moi, je vais rentrer un peu brusquement et je vais la kidnapper, elle va être à moi cette p'tite pute.

Laissons faire l'entrer discrête, je préfère aller d'un coup sec chercher la fille. Il pouvais y aller tout de suite après que moi je serai rentré, au pire, je rentrarai et irai séduire la jeune fille par moi-même. D'ici, je voyais les gardes poster en avant, deux gorilles qui savent même pas ce battre, j'en suis sur. J'allais surement tuer celui qui garde la porte arrière et je rentrerai par les cuisines. Mon plan pouvait ce mettre à l'oeuvre, la fille, le maire et son père sont rentrer. J'ai sauter du côté de la ruelle pour me laisser tomber du bulding lentement grace à ma griffe qui me descend tranquillement en m'accrochant au mur. Rendu en bas, j'ai couru de l'autre côté de la rue pour aller dans la ruelle proche du resto, comme je l'avais prédit, un gars était poster là. J'ai commencer à courir vers lui et le temps qu'il tourne la tête, mon index gauche était planter dans sa gorge, il pouvait plus parler le pauvre et il mourrait, ohh, je suis presque triste!

J'ai regarder la porte et j'ai brisé la serrure pour rentrer. Les cuisiniers me regardais passé, il vailait pas mieux pour eu de ce mettre au travers de ma route. Je suis aller jusqu'à une table, j'ai pris une table dans le fond où je pourrais cacher mon épée, pas très subtile, mais si ils venaient m'importuner, ils auraient affaire à moi. Seul les chevaliers connaissent mon identité je crois, ils doivent déjà avoir entendu parler de moi, le sous-chef de Ceros doit être assez connu.

Je regardais la fille d'ici, elle était assis à droite de son père, le maire est à côté du banquier, on dirait que sa va être un jeu d'enfant, sauf qu'il y a deux gardes qu'on dirait que j'ai déjà vu quelque part, mais où? J'attendais juste Vincent pour qu'il vienne faire du trouble, ensuite, je vais décoler vers la fille pour m'occuper d'elle. J'avais l'impression qu'un, ou même deux des gardes me surveille, une fille et un gars. Si les choses ce compliquent, je vais devoir tuer tout le monde avec Vincent, sans même pouvoir profiter de cete jeune fille, dommage.

Il me proposais que je fasse un massacre. Mais, je ne massacre pas, je joue. Tuer c'est comme le poker. On mise la vie et si l'autre mets tapis on prit pour qu'il ai bluffé...Bien sûr, ça c'est côté victime. Côté Assassin, c'est plutôt dans l'ordre du : Je ne bluff jamais mais mes cartes sont imbattable. Sûr, il est amusant de faire souffrir une cible, la tourmenter. Cependant il ne faut pas s'attarder, la soif, ça gruge...Fin de la parenthèse, il me proposais donc un massacre, mais je ne tuerait pas tout le monde, je tue rapidement le Maire et le Banquier, ensuite je m'occupe un peu. Je vais surtout m'assurer que personne ne s'échappe. Édouard devra être inventif pour s'en sortir...

Il était temps de passer à l'action. Je m'écartai du rebord, de dix mètres environ. Ensuite, je m'élançai et sautai dans le vide. Une personne normale se serait écrasé en touchant le sol, mais ce n'est pas mon cas. Sans éclaboussure, je pénétrai dans le sol de la rue.Me dirigeant vers le restaurant, je me dis qu'il était temps pour moi d'explorer mieux les limites de mon...pouvoir?...Je devait bloquer cette porte, je me suis dit : Si je peux apporter vêtement et arme, dans la solidité, pour quelle raison ne pourrais-je pas sortir un morceaux de cette même matière solide? Et donc, sous la porte du bâtiment, je me concentrai pour rendre, dans l'espace de mes mains, un peu de roche et de terre dans la même situation que mon corps et mon équipement. Ensuite, je mis cette matière solide dans la structure de la porte, et je recommençai jusqu'à la bloquer totalement. Le vide créer dans le sol m'importait peu, le pis serait que cela s'écroule. Je recommençai pour la porte de secours et la sortie des cuisines...

Je fis mon entré dans la bâtisse par les toilette des hommes, à un moment où il n'y avait personne. Je sortis directement, avant d'aller m'asseoir loin de Édouard, mais tout de même face à lui. Cela pris quelques secondes avant qu'un serveur vienne me voir et me propose le plat de mon choix, en soulignant que c'était offert pas la maison. Prenant le menu dans ses mains, je le dévisageai quelques secondes, puis survolai le carton plastifié. En lui redonnant, je le dévisageai encore, puis je sus où je l'avais vu, c'était lors d'un partie de Poker au Casino de la ville d'à côté. Je lui dit ce que je voulait, puis il repartit vers les cuisine en grosses sueurs froides.

Attendant mon assiette, j'observai les cibles. Assises sur une table avec banquette, elles étaient flanqué de deux gardes, portant au moins un petit quelque chose de vert...vert émeraude. C'était un homme et une femme, entre la vingtaine et la trentaine, dans la force de l'âge. Ils étaient assurément armés, et entraînés. Cependant, ils étaient deux et nous sommes deux, ce serait du plus divertissant...Ah tient, mon plat est arrivé, je vous laisse voir la version des autres maintenant, j'ai faims...

Après seulement quelques gorgées de son coke, Lili arriva au point de rencontre. Hunter s'avança vers elle ou plus précisément vers sa moto, toujours en sirotant son coke et regarda le "bicycle" avec appréhension.

-Jolie cette moto, fit-il simplement.

Puis, un bruit se fit entendre. Pas n'importe quel bruit! Celui de succion entre l'eau et l'air dans une paille! Cela voulait dire une chose: son coke était fini! Il le lança vers la rue et les quelques invectives qu'il reçut signifiait que sa canette avait touché sa cible. Un gros monsieur barbu avec des valises. Quelqu'un sans grande vie apparemment. Il s'assit sur le tas de gravats que formait l'immeuble à moitié démolit et sortit une petite carte où était inscrit l'endroit de la rencontre avec le maire et le banquier. Évidemment, les deux hommes ne savaient pas qui étaient les deux Chevaliers qui allaient les protéger, car qui sait si un des homme se faisait capturer et qu'il révélait l'identité d'un des deux Chevaliers? Ils seraient foutus!

-2790, 4e avenue. Le resto s'appelle "La Rose des Vents" (nom inventé rapidement et merdique XD). Tu préfères aller inspecter les lieux en premier ou j'y vais? On pourrait peut-être se séparer et communiquer par pensée?

Hunter marqua une pause. Il semblait prendre ce "contrat" avec sérieux, mais il agissait toujours de cette façon; il fallait toujours penser a une stratégie avant d'agir, sinon couic!

-Excuse-moi d'être aussi prévenant...Ah euh...et salut...Hum...Les lunettes de fumer ne sont plus à la mode en passant...héhé...

Quel fraternité n'est-ce pas? Bah, ce n'était pas par mauvaise volonté qu'il n'avait pas salué Lili, c'était plutôt qu'Hunter était perdu et qu'il avait pensé à toutes sortes de scénarios possibles pendant la mission. Ainsi, les mauvaises surprises seraient évitées...

Évidament, Hunter était Hunter. La première chose qui remarqua était tout d'abord la moto tout en terminant son coke. Ensuite,il vient me rejoindre car un type vraiment bizarre s'assit près d'eux avec une malette leur donnant l'adresse du point de rencontre avec le maire, le banquier et la fille. En lisant l'adresse par dessus l'épaule de Hunter, je trouvais sa louche, très louche. Pourquoi le resto la rose des vents?

Si Liliann se souvenait bien, il y avait très peu de porte d'entrée et de sortie. Sans compter le nombre de fenêtre. Avec un peu de chance, si l'assassin avait l'idée de surveiller ses portes ou s'assurer de les fermer pour de bon, il allait oublié celle de la cuisine. C'était la meilleure solution selon moi évidament, je me doutais aucunement que celui-ci y avait justement pensée. Mais commençons tout d'abord par vérifier le restorant. Je répondit à son raisonnement:

-Non, on rentrera ensemble comme un couple. Oui oui comme un couple et tentera de paraître le plus naturel possible. Nous sommes un couple qui a justement la chance de souper avec Le maire et Le banquier, sans oublier sa fille. C'est quoi son nom déjà?

Le petit commentaire de la fin sur ses lunettes lui mit la petite puce à l'oreille:

-Et toi Hunter, tu t'affiche complètement avec ton collier vert émeraude. Je suis peut-être pas à la mode mais au moins c'est pas écrit sur mon front que je suis...

Je coupa net la conversation. Quelque chose ne tournait pas rond. Nous venons tout juste d'arrivé au restorant et tout le monde était calme. Trop calme. Ce pouvait-il que cet inconnu ou peut-être plusieurs inconnus étaient déjà là? C'était un coup monté, tout le monde est au courant sauf eux, le maire, la fille et le banquier? Qui as tué Mme Pervanche dans le restorant avec le revolver? C'est le colonel moutarde! Non mais on est pas à une partie de Clue non plus. Donc évidament, dans le plus naturel du monde, je me joignis à la table du Banquier et du maire en compagnie d'Hunter. Faisant fit de mon instinct qui me dictait que quelques choses ne tournaient pas rond. Je resta de marbre et parla à Hunter par télépathie:

**J'ai la nette impression qu'il est ici ou qu'ils sont ici en ce moment. Tu n'as pas senti cette impression en rentrant dans le restorant?**

Rapidement, Liliann échafauda un plan. J'allais protéger la fille ou quel qu'elle soit son nom. Je fis part de mes réflexions à Hunter par télépathie:

**J'assure la sureté de la fille? Est-ce qu'on se divise les clients ou l'un protège les clients et l'autre affronte l'ennemi seul??**

À cette instant précis, je regrettais de ne pas être venu en plus grand nombre afin d'assurer une meilleure sécurité. Quoi que je comprenais le besoin, un gros nombre était trop voyant. Mais je commencais à avoir des doutes sur le fait des ramener tous en vie. Je scruta une fois de temps en temps la salle tout en mangeant et ayant une conversation enjoué avec le maire. Je repéra un regard. Le genre de regard qui généralement t'intimide et te glace le sang. Hors je resta de mabre et continua de regarder plus loin sans m'arreter sur son regard et je me retourna pour sentir le vin avant de prendre une gorgée mais finalement je changea d'idée.

**Hunter, derrière toi, à midi. Le voilà ou du moins, l'un d'eux. Je suis presque certaine ou du moins j'ai l'impression que Ceros n'a pas envoyé qu'un seul assassin. Celui là s'appel Edouard, très connu pour ses meurtres et ses nombreux kidnappings de femme. Je suis prête à parier que sa cible c'est la fille**

Je fit semblant de continué la conversation d'un ton faussement enjoué. Quel idée aussi, nous avions le dos tournés à un meurtrier si ce n'est pas plus...

[HJ: Edouard, j'ai fait comme si je te connaissais. Tu dis que ta réputation est faite et qu'il y avait des chances qu'on te repère. Si il y a quoi que ce soit, MP! ]

Maitre Assassin Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 13/03/2009

[C'est parfait ^^]

Bizarre, je me sentais vraiment épier, je pouvais voir un peu que cette femme me regardait du coin de l'oeil, elle croit que j'ai rien vu? Pourquoi ne pas causer le chaos tout de suite, je vois que Vincent est plus subtile que moi, il est en train de manger son plan, mais je savais qu'il est prêt à intervenir. Mon don de l'agilité et de la vitesse allait m'être utile dans ce coup. J'avais un petit plan de distraction en tête pour aller prêt de la fille, mais moi, je voulais m'occuper du gars avec le collier d'Émeraude, Vincent S'occupera de la femme.

Aussitôt qu'aucun regard ne me regardais, je me suis levé avec souplesse, discrétion et vitesse, en moins de deux seconde, j'étais debout au milieu de plusieurs serveur qui ce cherchait un chemin. Je les évitais sans aucun problème, mais je fis exprès d'en faire tomber un sur un autre pour créé une distraction, puisque personne ne ma vu prendre l'autre chemin discrètement. Pendant que les deux s'engueullaient et attirait l'attention, j'étais déjà derrière la fille du banquier, je l'ai pris de façon brusque pour avoir immédiatement l'index de ma griffe tranchante devant sa gorge. La fille proche d'elle me regardait maintnant, on dirait qu'elle me connait la madame. Ils ne devaient pas ce douter que mon acolyte est près de moi, près à rendre le combat égal si ils sont plusieurs. D'une voix normal, et même fréchier, j'ai dit.

-Bon, si vous faites un pas de trop dans ma direction, je lui tranche la gorge et si vous m'attaquer par derrière, je pourrais faire un accident et lui trancher la gorge en tombant. Sa serait dommage de gacher une si belle vie, non?

Je vis que son père voulait me lancer quelque chose, mais au moment où il pris un élan de lancer, j lui fis une entaille de 0,5 ou 1 cm de long, sa servait d'avertissement et je vis qu'il baissa les bras quand sa fille cria de douleur. Je dis avec un sourire en coin et d'un air moqueur.

-Si vous voulez vous battres pour la sauver, rejoignez-moi dans la ruelle derrière.

Tout le monde me regardait avec un regard horrifier, sauf trois, un gars, une fille et Vincent, qui est sûrement près a attaqué au moment voulu. À partir de maintenant, il était libre de faire ce qu'il veut et moi j'allais lentement vers la cave à vin, en tout, le sous-sol. J'ai descendu et rendu en bas, je l'ai assomé, rien de plus énervant qu'une fille qui essaye de crier à l'aide. Maintenant, j'attendais mes adversaire en déposant la fille dans un coin et je me servie une coupe de vin, venez jeunes héros, venez sauver la fille du banquier!

J'étais en train de manger mes Shishkebabs tranquillement, lorsque Édouard a décidé de passer à l'action. Sûr, au départ il ne fut pas remarqué, et la diversion avec les serveur fut un éclair de génie de sa part, mais il fallut tout de même qu'il attire tous les regards sur lui après moins de deux minutes. Il tenait la fille du Banquier, et menaçait de la tuer si quiconque s'approchait. Le Banquier voulu agir, mais une vulgaire entaille dans la gorge de sa progéniture suffit à le faire renoncer. Édouard amena donc la fille dans la cave à vin, et puisque qu'elle cessa ses hurlements soudainement, j'en déduis qu'il l'avait assomée...

Cependant, pendant qu'il faisait son numéro, je m'était faufiler entre les clients, pour me retrouver derière les Gardes du Corps, le Maire et le Banquier. Quelques possibilités s'offraient à moi : Tuer rapidement, le Maire et/ou le Banquier; Provoquer un ou l'autre des Garde du Corps; Ou alors, Jouer avec tout le monde. Les donnés défilait dans ma tête, et tout se mettait en place tranquillement. Les portes étaient toutes deux bloqué, et les fenêtres étaient...que peu nombreuse...

J'étais donc derière les abats-joies, réfléchissant à une technique d'approche. Puisque le Maire ne savait véritablement pas que faire, et qu'il pendait au bras des gardes, et que le Banquier était simplement en était catatonique...Vous devinez la suite? Je lui tapotai l'épaule du bout de l'index gauche, afin qu'il se reprenne et qu'il se retourne innoncemment vers moi, alors que de la main droite j'avait dégainée ma lame courte, près à lui trancher la gorge...Geste réussi, il n'eut que de stupeur d'ans les yeux avant de s'effondrer mollement, et de créer une marre sanguinolante au pieds de tous. Essuyant rapidement ma dague à l'aide de ma cape écarlate, je la rangeai et disparu, pour réaparaître devant mon assiette...

Je recommançai à manger, attendant que quelqu'un me remarque. Puis, cette pensé me vint à l'esprit : *Il sont délicieux ces Shishkebabs...*...

La stratégie établie par Lili était simple, mais efficace. Nous devions nous faire passer pour un couple et ainsi, ne pas attirer les soupçons sur nous. Hunter n'était pas très habitué à se comporter comme ça, mais il fit un énorme effort pour avoir l'air éperdumment amoureux de sa soeur-d'armes.

La remarque de Liliann sur son collier lui fit tirer un petit sourire. Il allait lui répondre lorsqu'elle se tût. Hunter et Lili venaient de mettre le pieds dans le restaurant. Lui aussi se demandait si un ennemi était déjà en place. Probablement... Le Chevalier était sur les nerfs et ne tarda pas à évaluer les portes de sortie qu'ils auraient à utiliser en cas d'agression. Il y avait évidemment la porte qu'il venait de franchir et les quelques fenêtres qui laissaient la lumière pénétrée dans le resto. Il devait aussi avoir une sortie d'urgence dans les cuisines et dans le couloir menant aux toilettes.

Hunter suivit docilement Liliann qui s'était assise aux côtés de la fille du banquier. Le Zénorois, lui, s'était installé à côté du banquier qui semblait plutôt nerveux. Le Chevalier lui fit son plus beau sourire signifiant: "Ne vous inquiètez pas, nous sommes là pour vous protéger!". L'homme sembla immédiatemment reprendre contenance.

Il allait commander son repas quand Lili lui parla télépathiquement.

**J'ai la nette impression qu'il est ici ou qu'ils sont ici en ce moment. Tu n'as pas senti cette impression en rentrant dans le restorant?**

**J'ai senti aussi une étrange impression. En fait, je me sens regarder.**

Lili poursuivit mentalement:

**J'assure la sureté de la fille? Est-ce qu'on se divise les clients ou l'un protège les clients et l'autre affronte l'ennemi seul??**

**Notre priorité est la protection du maire, du banquier et de sa fille. Ce sont des vies humaines, j'en suis conscient, mais nous avons une mission à accomplir. Si nous nous faisons attaquer, un de nous deux tiendra l'ennemi loin tandis que l'autre les escortera à l'opposé de l'ennemi, ok?**

Hunter commanda son repas, un délicieux steak saignant. Il avait le regard bas et il semblait intimider, pour faire croire à leur opposant qu'il n'était pas là pour protéger le maire et le banquier.

**Hunter, derrière toi, à midi. Le voilà ou du moins, l'un d'eux. Je suis presque certaine ou du moins j'ai l'impression que Ceros n'a pas envoyé qu'un seul assassin. Celui là s'appel Edouard, très connu pour ses meurtres et ses nombreux kidnappings de femme. Je suis prête à parier que sa cible c'est la fille**

Hunter esquissa un regard en direction de celui qu'elle appelait Édouard. En effet, cela était logique. Le Chevalier se prépara et enfila un poing américain sur son poing et sortit un petit peu son poignard.

Alors qu'il dégustait son plat, des cris furieux se firent entendre. Hunter se retourna rapidement et vit deux serveurs en train de se crier des insultes. Il en profita pour regarder vers l'homme de Ceros, mais ce dernier n'était plus là. Il y avait seulement un homme en rouge au regard perçant. Sûrement l'allié de ce Édouard. Il revint à son plat quand il vit l'homme de Ceros s'attaquer à la fille. Il la menaça d'une griffe qui semblait très coupante. Puis, il entailla la gorge de la pauvre fille quand Édouard avait vu le banquier esquisser un geste pour sauver sa fille. Édouard nous demanda que si ils voulaient revoir la fille vivante, quelqu'un devait aller se battre contre cet homme dans la ruelle. Hunter détestait ce genre d'affrontement, donc il envoya télépathiquement à Lili:

**Occupe-toi de cet homme, je vais m'occuper de l'autre!**

Hunter se plaça devant le maire et le banquier en position défensive. Son poignard était sorti et il attendait fermement l'autre homme qui mangeait des shish-kebabs. Le Zénorois le regardait attentivement, lorsque son regard se tourna vers l'endroit où l'autre homme de main de Ceros avait amené la fille qui avait arrêté de crier. L'avait-il tuée? Cette mission commençait bien mal...Surtout lorsque le maire poussa un cri horrifié en voyant le corps du banquier, mort. L'homme qu'il surveillait avait profité de la distraction d'Hunter pour passer à l'action. Le Chevalier saisit le maire et lui ordonna de le suivre.

-"Nous allons nous diriger vers les toilettes, il doit y avoir une sortie, d'accord?"

Le maire ne put qu'acquiescer et me suivre. Un dernier regard vers l'homme qui dégustait les shish-kebabs le fit blanchir. Ce dernier n'était plus à sa table...

» Hunter est absent!!! (soyez pas triste)
» Hunter... Who knows Light means Good?? (À finir)
» J'aimerais être...