Courses, paris et chasse à l'homme

C’était un jour plutôt nuageux et morne, un jour de congé pour les élèves, mais Sadiah ne comptait pas en faire un jour d’oisiveté. Elle avait eu vent de la découverte d’un nouveau métal lourd, une matière fissible qui pouvait peut-être servir, à l’instar du plutonium et de l’uranium, à la fabrication d’armes nucléaires. Elle connaissait le nom de celui qui travaillait sur ces recherches, un certain Théodred Holi d’Émeraude. Bien sûr, il n’avait pas associé son nom à cette découverte, car la firme Emer-Métal Corp. pour laquelle il œuvrait s’était empressée d’en prendre tout le crédit, mais, Sadiah n’avait aucun doute, Théodred était l’homme qui se cachait derrière tout ça, elle était suffisamment au courant des activités de ce secteur de recherche restreint pour en être persuadée. Et, aussi, elle avait en tête de s’en procurer quelques échantillons afin d’effectuer des tests. Même si elle se doutait qu’elle pourrait en trouver dans le laboratoire de la firme, elle savait aussi qu’il ne serait pas aisé d’y entrer sans invitation. Le moins risqué était peut-être de suivre Théodred jusque chez-lui. S’il était le moindrement intelligent, il était certain qu’il avait gardé avec lui un échantillon… une police d’assurance au cas où la firme voudrait soudainement l’exclure du champ de recherche. C’était sa découverte, son bébé, il n’allait pas leur laisser tout ça sans se garder une petite part. Sinon, bien, elle allait certainement trouver des traces de ce métal dans ses effets personnels, elle pourrait facilement les extirper à l’aide de ses pouvoirs.

Aussi, le mieux était de voir s’il serait possible de s’approcher du scientifique et de trouver le moyen de se faire inviter chez-lui. Cela lui permettrait de faire une reconnaissance du terrain et des possibles systèmes de surveillance interne, elle pourrait ensuite facilement s’y téléporter en toute sécurité quand elle le saurait absent.

Théodred était un homme d’une vingtaine d’années, connu, certes, pour ses recherches, mais aussi pour sa passion pour les paris et les courses de chiens. Puisque l’événement de la coupe des éleveurs avait lieu en ce jour, elle risquait fort de le croiser près du champ de course. Elle était donc sortie sans ses habituels artifices, coiffée simplement, sans aucun maquillage, elle s’était rendue jusqu’à Émeraude, puis s’était changée pour se vêtir à la manière des femmes de carrière d’Émeraude, avec classe, goût et une touche féminine, quelque chose aux couleurs réservées qui n’attirerait pas l’attention outre-mesure, mais qui saurait attiser l’intérêt d’un scientifique hétéro. Débout près de la balustrade, elle semblait d’une très belle jeune humaine fortunée, ni plus ni moins. Comme plusieurs personnes autour d’elle, elle scrutait le terrain avec des jumelles. Les autres observaient les chiens, Sadiah cherchait le dit Théodred. Elle avait déjà vu quelques photos de lui, elle savait à quoi il ressemblait, mais il y avait tellement de monde! Il y avait environ dix minutes qu’elle se tenait là. La première course allait commencer et elle avait même fait un pari, histoire de rendre le tout plus crédible, mais aussi parce qu’elle aimait bien le risque. De toute manière, ces courses étaient très légales, autant joindre l’utile à l’agréable. C’était un jour de congé après tout!

Sur qui avait-elle misé déjà? Elle sortit le billet de sa poche. *Ah oui... Hound's Sunset*. Mais un coup de vent soudain se leva et emporta le bout de papier qui virevolta pour venir se déposer au sol un peu plus loin. Elle écarquilla les yeux et s'y dirigea d'un pas quelque peu précipité, plia les genoux pour le récupérer. À côté du papier se trouvait une paire de pieds, elle leva les yeux vers la petite personne à qui ils apartenaient. Elle se redressa en le regardant. Il avait... quoi... quinze ans? Et... il ressemblait un peu aux photos qu'elle avait vu de Théodred. C'était impossible, il ne pouvait pas avoir l'air d'un adolescent de 15 ans! Non, ça ne pouvait pas être lui. Elle lui fit un sourire discret qui paraissait gêné, même si elle ne l'était pas du tout, elle était habile pour simuler les sentiments.

-Quel vent! Lui dit-elle simplement de sa voix si douce. Un peu plus et je perdais ma mise.

La cloche qui annonçait le départ de la course retentit, les chiens furent lancés et l'animateur se déchaîna dans les hauts-parleurs. Tous se ruaient à la balustrade.

{HJ : Pfffff... Écoute, je n’avais aucune idée, j’espère que ça ira pour toi. Si tu souhaites que je modifie quelque chose, n’hésite pas à me le signaler, j’éditerai.^^}

Je ne pensais pas me réveiller avec une mission ce matin, pourtant, on m'en confia une, protéger Théodred. Lui et moi nous nous connaissions bien, nous avons beaucoup travailler ensemble depuis que je suis avec la FPA et j'ai vu toutes ses découvertes. On m'avait confier cette mission parce que j'étais assez bien lier d'amitier avec lui, nous étions deux scientifique, mais moi j'étais plus alchimiste qu'autre chose. Nous avons fais la route vers la course de chien en limousine, lui qui est si important, et j'avais pris le temps de mettre de l'huile dans mes membres bionique. Mon bras était caché par mon long manteau rouge et ma jambe par mes pantalons noir.

Nous sommes arrivés et il c'est élancer vers le kiosque des paris, il devait toujours parier. Moi, je n'aimais pas vraiment miser de l'argent, je trouvais sa inutile. Nous sommes entrés dans le stade et il alla s'assoir plus en avant pour que moi je le surveille d'en arrière. Mes long cheveux blonds étaient attachés dans mon dos et sa formait une genre de tresse. Mes yeux jaune fixait toujours Théodred et je ne le lachais pas d'une semelle. Jusqu'au moment où une jeune femme ce pencha à côté de moi pour ramasser son billet que le vent avait ballayer.

Elle était assez jolie et je répondis à son sourire, toujours les bras croiser. Elle devait venir d'Émeraude vu son accoutrement et elle avait l'air d'une gentille jeune femme, malgré que j'avais toujours l'air plus jeune que elle. Je surveillais Théodred du coin de l'oeil et je revins sur cette femme pour lui répondre gentiment.

-Ouais, le vent est assez fort aujourd'hui, disons que j'aurais choisie un autre jour pour venir voir des chiens courir. Je m'appele Émerick Fakburg, et vous?

J'étais assez connu moi aussi, mais pas autant que Théo, j'étais connu pour avoir tenter de réanimer un mort et d'avoir créé une sorte de monstre. Je n'avais jamais vraiment été fier de sa et je savais que sa l'avait été terrible comme expérience. J'étais aussi un peu connu pour être un des scientifiques de Théo, mais seul les plus informer le savais sa. J'attendis sa réponse en regardant les chiens courir et en surveillant subtilement Théodred.

Alors que les chiens foulaient la terre battue de la piste à toute allure, Sadiah n’avait toujours pas quitté le jeune homme des yeux. Ce halo lumineux autour de lui… la magicienne savait très bien de quoi il s’agissait. Cependant, sa fascination discrète ne l’empêcha pas de demeurer attentive au nom qu’il prononça. Il lui dit s’appeler Émerick Fakburg, cela lui disait quelque chose et elle fouillait sa mémoire. Elle se rendit compte qu’il s’était passé une ou deux secondes de trop après la question de ce dernier, et, aussi, en rougit-elle légèrement. Cette réaction n’était pas volontaire et il y avait belle lurette qu’elle n’avait pas senti un malaise en présence d’un homme. Enfin, celui-là avait plutôt des airs adolescents.

- Ah… euh… Je m’appelle Saad, réussit-elle à répondre. Puis, se ressaisissant, elle sourit et continua : enchantée de vous connaître.

Ça y était, maintenant elle passerait pour une femme timide, mais ce n’était toutefois pas sa plus grande préoccupation à cette minute précise. Elle ne ressentait aucune magie en celui qui était devant elle, ce n’était ni un elfe, ni une fée… c’était simplement un humain. Comment les dieux avaient-ils pu, entre toutes les créatures de ce monde, lui choisir un humain pour âme sœur?
Elle tourna la tête un instant alors que cette idée faisait naître un petit rictus sur son front et ce fut à ce moment qu’elle se souvint où elle avait entendu le nom de cet homme. Il s’agissait d’un scientifique qui avait tenté de redonner vie à un mort, mais les résultats avaient été monstrueux. Mais… comment un si jeune humain avait-il pu trouver le bagage de connaissances pour un processus aussi complexe? Enfin, la bonne nouvelle était qu’il s’agissait d’un scientifique et… là où il y en avait un, peut-être en trouverait-elle un deuxième?

Lorsque l’annonceur des courses hurla le nom du vainqueur dans le haut-parleur, Sadiah ramena son attention vers Émerick, elle haussa les épaules.

- Eh bien, semble-t-il que je n’aie pas parié sur le bon coureur. J’espère que vous avez eu plus de chance que moi, lui dit-elle de sa voix douce.

Elle avait retrouvé son assurance et en était plutôt heureuse, elle détestait qu’un homme puisse croire qu’elle était intimidée.

Ce fut à ce moment qu’un autre homme surgit à ses côtés, fou comme un balai, en brandissant un ticket.

- Ah! Mon cher Émerick! J’ai gagné! Je suis un génie, je t’avais dit que je l’avais vu dans son œil! C’était écrit dans le ciel, Polydor’s Proud allait gagner aujourd’hui.

Il repartit aussi vite qu’il était arrivé, mais Sadiah avait eu le temps de le reconnaître : c’était bel et bien Théodred Holi d’Émeraude. Ainsi, ils se connaissaient tous les deux. *Hmmm, c’est intéressant!* pensait-elle. Les yeux écarquillés, elle le regarda sautiller vers le guichet tout près, quelques mètres plus loin, il allait chercher son lot. Elle ramena son attention vers Émerick, l’air rieur.

- Je ne dois pas avoir lu dans le bon nuage, moi. Vous pensez que votre ami pourrait me donner des cours?

Elle avait dit cela à la blague, mais elle espérait que le jeune Émerick morde à l’hameçon.

Je la regardait au plus profond de se yeux, elle avait l'air un peu timide, mais sa m'importais peu. J'écoutais ce que me disais Saad, un nom que je n'avais jamais entendus auparavant. Je mis ma main droit, celui bionique et je pris sa main, je dis d'un ton sérieux et avec un sourire.

-Enchanté Saad.

J'ai ensuite enlever ma main pour voir que c'étais le chien de Théo qui avait gagner, il avait raison à propos de son affaire à regarder dans les yeux du chien et j'avais un sourire en coin, sachant qu'il allait sûrement venir me voir pour dire qu'il avait raison. Théo est quelqu'un de gentil et assez drôle, par contre, il oubliait souvent qu'on essayait de l'assassiner et c'est pourquoi je suis là. Je n'avais jamais vu cette femme auparavant, malgré que c'est ma première année en mission, avant, j'étais toujours dans les laboratoires.

Elle disait ne pas avoir de chance, la chance. Je n'ai jamais vraiment cru en sa, tout est scientifiques, tout s'explique pour moi. Il faut juste savoir qui prendre, regarder leur physique, leur longueur de pattes et leur aggressivité parfois. Je souris à son commentaire, mais je n'ai pas eu le temps de répondre que Théodred rapliqua, fier de lui. Il avait encore eu raison, et je m'en doutait qu'il allait gagner, mais moi je ne suis pas un parieur, j'ai jamais vraiment aimé l'argent. Je me tourna vers Saad et je dis encore avec un ton sérieux, mais joyeux à la fois.

-Théo, donner des cours? Peut-être, mais il fait toujours de grande explication que j'ai parfois moi-même de la misère à comprendre, mais je finis toujours par croire ce qu'il dit. Il est un homme tellement...

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase que j'entendis un bruit que je n'aurai jamais voulu entendre, un coup de feu. Ma tête pivota vers le stand des parieur pour voir Thép à terre, mais il n'avait pas été toucher, juste la femme à côté de lui. Il fallait vraiment que du monde attaque aujourd'hui, pourquoi quand c'est moi qui le surveille et surtout quand je rencontre quelqu'un d'intéréssant. Je m'excusa auprès de Saad, elle pouvait me suivre si elle aimait le risque, mais j'allais enfin tester mon don avec l'alchimie contre des ennemis. On aurait dit trois gars de la mafia, vendeur de drogue, surement des rebelle. Il fallait protégé Théodred, faire en sorte qu'il ne soit même pas blesser. J'allais sûrement épaté la foule. Tout le monde courait et j'entendais encore des bruits de balles. Je claqua mes mains ensemble pour ensuite les mettre au sol, pour créé un mur de pierre et métaux devant Théo. Je vis du monde s'arréter pour voir le phénomène de mon alchimie, mais je ne savais pas si le monde m'avais vu. Je vis les hommes impréssionner, mais j'avais déjà enlever mon gant droit pour laisser voir mon dur poing de métal. J'ai encore taper des mains, mais la pour créé une lame sur mon bras bionique, cette lame c'est créé en partant de mon avant bras pour ressortir devant ma main, elle dépassait de 4 ou 5 cm. Je les ai attaquer par derrière et d'un geste rapide, je coupa l'arme d'un des trois, j'ai donner un coup de pied dans le ventre de l'autre et le troisième me vis venir à la dernière seconde. Je ne suis pas un tueur, je ne savais pas quoi faire contre le troisième qui était un peu trop loin, je pensais que mon heure était venu, que j'allais découvrir si le paradis éxiste vraiment. Je pourais lui foncer dessus avec ma lame, mais je me sentais pas pret à tuer quelqu'un, à voler une vie. Je ferma les yeux, mais quelque chose, ou quelqu'un me sauva...

[Ouais, je voulais mettre de l'action xD, si t'aime pas trop une scène d'action dit moi le , mais j't'en est laisser un xD]

Sadiah écoutait avec grande attention les propos du jeune Émerick, mais, malgré tout le sérieux de ses objectifs, elle affichait tout de même un air un peu rieur. Cette attitude n’était pas habituelle pour elle. En fait, elle se devait d’être très sympathique si elle voulait gagner la confiance du jeune homme et, ainsi, approcher l’autre. Cependant, cela était assez facile avec lui, elle n’avait aucunement à se forcer. Il semblait d’un humain plutôt gentil.

Un coup de feu vint couper la conversation. Aux aguets, Sadiah s’était tournée vers le stand, évaluant la situation. Théodred était au sol et une femme était blessée à ses côtés. Elle entendit Emerick s’excuser et le vit se précipiter dans la mêlée. Elle dénombrait trois assaillants à proximité, elle allait tenter de mettre le scientifique hors d’atteinte lorsqu’elle vit Emerick porter les mains au sol et un mur de pierre et de métaux entourer Théodred. Elle s’accroupit et passa derrière des bancs, s’approchant de l’action et ne perdant rien de ce qui s’y passait. Elle ne souhaitait pas être découverte et le doute envahissait son esprit : mais qui était vraiment cet Emerick? Il ne possédait pourtant aucune magie, dans le cas contraire elle l’aurait certainement su. Bien sûr, lorsqu’il avait prit sa main, son pouvoir lui avait permis de sentir la présence du métal, mais elle avait cru à un simple membre artificiel. Elle continuait de l’observer alors qu’il s’occupait des deux premiers malfaiteurs, mais elle doutait qu’il puisse réagir à temps pour se charger du troisième et il était hors de question qu’elle laisse mourir son âme sœur. Si les dieux avaient choisis de les lier, il y avait une raison et elle souhaitait la connaître un jour. Le troisième assassin allait passer près d’elle. Sadiah déploya le métal du banc qui se trouvait devant elle, deux tiges ressemblant à des bras se formèrent à partir de la base de sa structure et l’enlacèrent avant même qu’il n’eut le temps de les voir arriver. Ils se contractèrent ensuite pour clouer le malfrat au sol, l’étreinte du métal se resserra jusqu’à ce qu’il ne puisse plus bouger pendant qu’une autre tige se glissa jusque dans sa main qui tenait une arme à feu. Elle se déploya dans sa paume pour faire ouvrir les doigts de force et l’arme tomba sur le sol. La magicienne attira, ensuite, l’arme à elle. Cette dernière glissa sur le sol et elle l’empoigna.

Sadiah se redressa en scrutant les alentours, cherchant à savoir s’il pouvait y en avoir un autre, puis elle se rappela la femme qui avait été touchée. Elle était toujours au sol. Il aurait été de loin préférable, pour Sadiah et son besoin crucial de conserver son anonymat, de se téléporter tout de suite loin de là, mais elle ne pouvait simplement pas laisser la femme ainsi. Elle se rendit tout de suite à son chevet, laissant le malfaiteur toujours contraint fermement contre le béton du plancher. Les gens couraient encore dans toutes les directions, cherchant à se mettre à l’abri au cas où un autre tireur fou se cacherait dans les estrades.
La magicienne s’approcha de la femme et la sonda. La balle était toujours dans son épaule.

- Je m’occupe de vous, Madame, je vais vous aider.

Elle ne pouvait lui apporter des soins sans la faire sortir. Elle plaça sa main à moins d’un centimètre au dessus de la plaie et tira le projectile vers elle. La femme avait lâché un hurlement pendant la manœuvre et Sadiah dû lui administrer une vague d’apaisement.

- Je sais, c’est douloureux, la balle est sortie. Restez calme.

Elle plaça la balle de côté, puis imposa à nouveau ses mains près de la plaie, lui administrant des soins. Elle fit ce qu’elle pu selon le temps dont elle disposait, déjà les secouristes accouraient. Elle stoppa ses soins avant qu’ils ne voient ce qu’elle faisait, elle reprit la balle et elle recula en se redressant pour leur laisser l’espace. Elle se tourna, ensuite, en direction de là où Théodred avait été caché derrière un mur de pierre, à quelques pas d’elle. Elle ne voyait pas s’il s’y trouvait encore, mais elle aperçut Emerick tout près. Elle croisa son regard. Seul lui, dans toute cette foule, pouvait savoir que ce qui s’était passé avec le banc ne provenait pas de la même « magie » que les premiers événements qu’il avait lui-même causés. Seul lui savait qu’une tierce personne s’était impliquée, mais savait-il que c’était elle? Il aurait été très risqué d’en douter. Aussi, elle ne joua pas à la jeune femme traumatisée qui avait eu la peur de sa vie. Elle le regarda, d’un grand calme, puis décida de s’avancer vers lui et de confronter ce que le destin lui réservait avec cette personne. Rendue à ses côtés, elle lui tendit discrètement l’arme en la tenant de manière inoffensive et elle sonda rapidement son esprit.

- L’homme est conscient, si vous souhaitez le questionner, lui dit-elle simplement de cette voix toujours aussi douce.

Et moi qui pensait que mon heure allait arrivé, que j'allais mourir ici, d'une balle dans le corps. La sécuriter avait pris les deux autre gars, mais je voulais garder celui entourer dans le metal pour moi. J'ai taper des mains pour placer ma main gauche sur mon bras droit, ma lame à aussitot disparut pour laisser place à seulement mon bras bionique. Je me suis approcher de lui et j'ai dis pour très bien me faire comprendre.

-Ok salaud, il faut que tu saches avant tout que ton corps est composé de sodium, et oui, tu as du sodium dans le corps. Donc si tu ne m'écoute pas, je peux très bien te faire exploser en te touchant ta compris?

Je voyais très bien la peur dans son visage et je trouvais sa un peu drôle. Saad n'étais pas loin de moi et je l'avais vu faire, elle avait utiliser de la magie, j'en était sur. J'ai jamais vraiment cru en la magie, je disais plutôt que c'était des dons, comme lire dans les pensés, lancer des jets de flamme, peu importe, c'était des dons pour moi. Donc, elle pouvait peut-être lire mes pensés, elle pouvais savoir ce que je pense, je n'aurais aucune intimité peut-être, mais ce n'étais pas préocupation, malgré qu'elle attirait beaucoup mon regard et, sans savoir pourquoi, on dirait qu'elle faisait battre mon coeur plus vite. Je me suis retourné vers le gars et j'ai dit.

-Pourquoi avez-vous attaquer cet homme, qui vous envoi, comment avez-vous su qu'il était ici, réponder moi tout de suite sinon, je vous conduit à Opale. mes supérieur si connaisse en torture, ils vous ferons parler.

Il était bien coincer dans cette position, je pouvais observer Saad du coin de l'oeil, plutot, l'admirer. Elle était une belle femme, attirante, mais elle me faisait battre mon coeur et je ne suis pas du genre d'être amoureux, pas maintenant. Je suis occuper, comment je peux aimer? Pourtant, elle me prouvait le contraire, elle me faisait des effets étranges en moi. Je crus voir quelque chose rayonnant de blanc autour d'elle, mais en secouant la tête, cette lumière disparut, devenai-je fou? Je pouvais controler la matière comme je le voulais, tout les métaux, les pierre, etc... Je pouvais toutes les manipulers et presque personne connaissait mon don. J'attendais la réponse, en continuant de la regarder discrêtement, j'avais une idée que je devai tester. J'ai dis à son intention dans ma tête.

**Si tu m'entend, sa doit parce que tu es magicienne, disons juste que sa ne doit pas être tout le monde qui fais des trucs comme sa. Si j'ai raison, répond moi par un signe de tête, je te jure que je ne le dirais à personne.**

Je voulais savoir, j'étais curieux et c'est vrai que je ne veux pas le dire, quelque chose en moi me dit que j ne devais pas le dire si c'était vrai, comme un 6e sens. J'attendai mes deux réponses maintenant.

[Tu feras parler le michant xDD, si tu veux , tu peux mettre plus d'action si tu veux comme des renforts, qui sait xD]

Sadiah se tenait non loin d’Emerick quand il avait entrepris d’interroger l’homme qu’elle avait emprisonné dans le métal. Lorsqu’elle le vit taper dans ses mains et placer la main gauche sur le bras droit pour faire rentrer la lame, elle comprit qu’il était question de science, de mécanisme. Après tout, Emerick était connu pour ses recherches et ses expériences en ce domaine. Les propos qu’il exposa par la suite au sujet du sodium la confirmèrent dans ses doutes. C’était probablement de la chimie ou de l’alchimie. Saad le regardait subtilement des pieds à la tête, elle sentait une source métallique importante, aussi, au niveau d’une des jambes, mais ce n’était pas ce qui la rendait inconfortable en ce moment précis, c’était plutôt qu’elle aimait le regarder. Elle le trouvait… intéressant. Peut-être attirant? L’idée qu’elle puisse éprouver des sentiments amoureux pour un humain la dérangeait. Les premiers mâles humains qui lui avaient fait des avances étaient des salopards ou des petits gens sans trop de scrupules qui n’avaient pas compris qu’elle pouvait lire en eux et connaître leurs véritables intentions. C’était toujours bas et vil, jamais teinté de sentiments honorables, tant et si bien qu’elle avait cessé de sonder ceux qui s’intéressaient à elle et elle les repoussait d’office, peu importe la race. Encore si jeune, elle avait vu ce que l’officier de la FPA avait fait subir à sa sœur et elle avait fini par projeter cela sur tous les autres. Elle doutait vraiment de leur capacité à aimer dans le sens que ce mot devrait prendre.

Seulement, les mots qui suivirent la rendirent encore plus sur ses gardes… il menaçait l’homme de le conduire à Opale où il se ferait torturer par ses supérieurs. Il était de la FPA… c’était évident. Sadiah était d’un grand sang-froid et elle ne laissa pas ses émotions transparaître. Elle l’avait cru gentil, correcte, sympathique… comment avait-elle pu se tromper à ce point? Enfin, elle savait aussi que nombre de jeunes gens étaient embauchés par la FPA en croyant faire le bien, ils étaient endoctrinés et le devenaient encore davantage au sein de cette organisation, peut-être était-ce le cas d’Emerick? Elle le sondait, scrutant les recoins de son esprit auxquels elle pouvait avoir accès, c’est alors qu’elle perçut ses pensées. Il lui demandait de confirmer qu’elle était une magicienne.

En fait, elle savait qu’il était assez facile, pour lui, avec ce qui s’était passé peu de temps avant, d’en déduire qu’elle était loin d’être une personne ordinaire. Elle ne risquait pas grand-chose de plus qu’elle ne l’avait déjà risqué de confirmer son doute. Mais, néanmoins, elle savait maintenant qu’il était de la FPA et elle était désormais d’une méfiance encore plus prononcée, aussi, quand elle perçut les mots qu’il formait dans son esprit, on put voir passer des éclats ambrés dans le regard de la jeune femme. Sadiah n’était pas du genre à reculer, s’il voulait l’affronter, il allait trouver devant lui un adversaire redoutable. La seule chose qui empêchait la magicienne de réagir négativement était cette aura qu’elle voyait autour de lui. Il était son âme-sœur, il y avait espoir que cette rencontre soit positive, elle devait rester ouverte… méfiante mais ouverte à le connaître mieux. De plus, elle sentait qu’il n’était pas mal intentionné et qu’il ne souhaitait pas rompre la promesse qu’il venait de faire. Sans le quitter du regard, elle acquiesça d’un signe de tête. Elle était sérieuse et d’un grand calme, assurée. Elle se tourna, ensuite, vers l’homme au sol et le sonda à son tour un instant.

- Il ne parlera pas, dit-elle simplement, il a trop peur de ceux qu’il sert.

Elle sentait aussi, en lui, une certaine dose de confiance, une attente… comme s’il croyait que tout n’était pas terminé. Elle leva les yeux et scruta les estrades, ce fut alors qu’elle vit celui que le captif attendait, un quatrième homme qui mirait dans leur direction. Elle n’eut pas le temps de réagir, le coup fut tiré et ce fut l’homme au sol qui fut atteint au front. Vraisemblablement, il voulait l’empêcher de parler. L’instant d’après, Sadiah posa sa main sur le bras d’Emerick et les téléporta tous les deux non loin du tireur, derrière un muret de béton qui les protégeait. Elle s’étira doucement pour regarder par-dessus. Le tireur semblait les chercher, mais il ne regardait pas dans la bonne direction. Elle s’assura que Theodred était toujours à l’abri. De là-haut, elle le voyait bien. Après ce rapide tour d’horizon, elle se replaça en position de sécurité, complètement cachée par le muret de béton, et se tourna vers Emerick. Il était si près d’elle qu’elle en frissonna. Elle avait plongé son regard dans le sien. Elle savait qu’il devrait prendre le temps de s’orienter, car c’était elle qui avait choisi le lieu de la téléportation, lui devait plutôt se poser des tas de questions, ça ne devait pas lui être arrivé très souvent. Elle se pencha vers lui et lui murmura près de l'oreille:

- À 11 heures, deux rangées plus bas.

Je pouvais tout simplement pas l'apporter à Opale, je détestais penser aux torturent qu'ils faisaient subir. J'allais continuer à parler quand une balle traversa son crane sous mes yeux, encore un mort devant moi. J'en avais assez de voir du monde mourrir, voir du sang toujours prêt de moi et de perdre du monde de qui j'avais besoin. Je pensais à mon frère, celui que j'ai essayer de ramener à la vie, mais que j'ai échouer. J'allais parler quand je fus téléporter, la surprise était là, sur mon visage. Elle m'avait confirmé qu'elle était une magicienne, j'allai garder ma promesse, personne n'allait le savoir.

J'étais rendu en haut, elle était prêt de moi et je pouvais la sentir. Elle avait un doux parfum que j'aimais bien, une odeur qui vous réveille les narines et qui vous amène au paradis presque, au paradis que je ne crois pas. J'étais....bien, être proche d'elle me rassurais et me faisais du bien, comme si elle m'aidait. Elle me chuchota l'emplacement du gars, ce salaud allait me le payer d'avoir fais sa. Je fesais que des menaces que je ne mets pas à l'oeuvre, juste pour les térroriser. Je suis passer à côté de Saad en touchant son bras, un frisson me parcourus. Sa peau était douce, je n'en revenais pas et sa la pris au moins deux seconde avant de la lacher et me mettre à l'oeuvre.

-Il va payer, je m'assure de l'assomer, tu ira le chercher après, nous allons l'apporter lui et Théo dans un endroit sécuritaire ou nous pourrons les questionners dans le secret, je ne tiens pas à apporter ce gars à Opale. Je suis contre la torture sauf la torture avec les paroles.

Je fis un sourire en coin, je savais bien faire accroire des choses à ceux que je questionne, ce n'est que psychologique et je fais aucun dégat physique. J'ai collé mes deux mains ensemble pour ensuite les poser sur le sol. Prêt du gars, on pouvais voir à deux mètre de lui, un poing surgir du sol de la taille d'un ordinateur et le frapper de plein fouet. Juste assez gros et rapide pour l'assomer, j'avais fais tous les calculs, j'ai souris à Sadiah et j'ai dis.

-Il devrait être assomer pour au moins une à deux heures si mes calculs sont exact, je vais le chercher et on se rejoint en bas avec Théodred ou vient me rejoindre proche du brigand. Je pense que tu peux te téléporter, il y a presque pu personne au stade.

J'ai descendus les marches une à une pour arrivé à côté de lui, un vrai petit bébé qui dort. J'attendais maintenant Saad en pensant à elle. Elle était si belle, et elle m'attirait d'une quelqu'onc manière. Son bras était doux comme du velour et sa m'avais pris du temps quand même d'arréter de la regarder pour descendre. Quelque chose en elle m'attire, pas juste sa beauté. Elle est intelligente aussi, une femme très sociable et qui avait l'air heureuse. De toute façon, pourquoi je l'attirerait, je suis un scientifique, mais j'avais vu quelque chose dans ses yeux, quelque chose de magnifique. Une petite étincelle, je la voyais parfois quand elle me regardait, étais-je en amour? Peut-être. Je pensais à son visage sans défault, sa peau douce de velour, ses yeux accueillant et ses cheveux si bien fait. Je devai me ressaisir, elle allait arriver d'un moment à l'autre avec Théo, lui aussi étant assomer, elle pourrait surement utiliser ses pouvoirs.

Elle avait ressenti le contact de sa peau sur la sienne lorsqu’il avait touché son bras et cela lui avait fait un drôle d’effet. Elle n’aimait pas ce qu’elle ressentait à son égard, elle n’aimait pas que ce jeune homme, par son sourire, son regard, sa seule présence puisse faire tomber toutes les défenses qu’elle avait entretenues depuis tant d’années autour d’elle. Mais ce qu’elle détestait encore plus, c’est que, de toutes les fibres de son être, elle avait envie qu’il la touche encore. Elle devait se ressaisir et vite. Bien sûr, il était son âme sœur, mais cela ne signifiait pas qu’elle devait être imprudente à son égard. Elle devait rationaliser tout cela, car, véritablement, qu’était-il à cette heure? Un étranger, un humain, un membre de la FPA, tout ça devrait être suffisant à la refroidir… non? Ah! Et puis… pourquoi devait-il être si charmant? N’aurait-il pas pu être repoussant? Cela lui aurait facilité les choses. Mais, non, il la regardait intensément et elle avait envie de fondre. Quelle faiblesse…

Malgré elle, elle répondit à son sourire en coin par un sourire timide, un sourire vrai et sincère comme il lui arrivait rarement d’en faire. Elle le regarda utiliser sa science pour assommer le quatrième malfrat et elle fut plutôt impressionnée qu’il puisse évaluer l’état de l’homme à cette distance sans pouvoir. Il était vraiment un jeune homme hors du commun, c’était le moins qu’on puisse dire. Elle hocha la tête pour lui dire qu’elle acceptait son plan, puis, après avoir jeté un coup d’œil aux environs, elle disparu pour réapparaître aux côtés de Théodred qui était inconscient. Elle les dématérialisa et, en moins d’une fraction de seconde, elle avait récupéré aussi Emerick et le brigand. Ils réapparurent dans une vieille chaumière qui se trouvait dans un coin de forêt en bordure de la frontière provinciale entre Émeraude et Argent, une habitation maintenant abandonnée, mais qui avait appartenue à un ermite que Sadiah avait connu à l’époque où elle coursait clandestinement dans les rues émériennes, un bon ami qui avait, lui-même, bricolé quelques uns des bolides qu’elle avait pilotés. Il était décédé quelques semaines plus tôt et elle lui avait rendu visite quelques jours avant sa mort. Malgré toute sa magie, elle n’avait rien pu faire contre ce cancer qui avait envahi tout son système. Il était trop tard. Elle était revenue le jour de son décès pour l’accompagner dans cette épreuve, puis, pour prendre soin de sa dépouille et lui faire un rite funéraire secret en ce lieu même. Elle savait que ce lieu pouvait lui servir de refuge un jour ou l’autre, et, vraisemblablement, ce jour était arrivé.

Elle avait téléporté tout le monde dans la chambre d’amis. Lorsqu’elle se matérialisa, son corps lui sembla complètement engourdi, elle avait vraiment forcé la dose, elle venait de déplacer quatre personnes. Elle avait, aussi, abondamment utilisé sa magie dans les minutes qui avaient précédé la téléportation et, maintenant, elle se sentait étourdie. Elle mit la main sur une commode et porta l’autre à sa tête. Elle devait se reposer un peu.

- Je vais prendre l’air un instant… je… commença-t-elle sans regarder son interlocuteur. Il ne faudrait pas les laisser ensemble, au cas où il se réveillerait.

Bien sûr, elle parlait du malfrat. S’il se réveillait et trouvait Théodred à ses côtés, il allait peut-être attenter à sa vie ou s’en servir comme otage… ou autre chose, car, en fait, ils ne savaient rien de lui. Se sentant vulnérable et démunie, elle tourna les talons et sortit de la mansarde, d’un pas ni lent ni pressé. Elle se dirigea vers le jardin où, elle savait, elle trouverait un banc. Elle s’assit un instant à travers les structures florales que Fraden, son ami, avait entretenues de son vivant. Bien sûr, elles n’avaient plus le lustre d’antan, puisqu’il y avait belle lurette qu’on s’en soit occupé, mais on sentait facilement que ce jardin avait dû être magnifique à une certaine époque. Il était, aussi, étonnant de voir que les alentours étaient si… dépollués. Fraden avait travaillé très fort pour se faire un coin de paradis sans détritus, il avait œuvré à redonner au boisé qui entourait sa maisonnette, toute sa beauté naturelle et avait assez bien réussi. C’était vraiment rafraîchissant de pouvoir admirer une si belle nature à l’époque sale et maudite dans laquelle ils étaient plongés.

De là où elle était, elle voyait très bien l’intérieur de la chambre d’ami. Elle pouvait garder un œil sur Théodred. Elle aurait pu utiliser sa magie pour lui apporter des soins et, peut-être, le faire se réveiller plus rapidement, mais elle se serait affaiblie davantage et aurait peut-être compromis une probable prochaine manœuvre d’urgence pour se téléporter. Elle devait se garder une porte de sortie, au cas où les choses tourneraient mal. Non, il allait se réveiller par lui-même. Enfin, elle pouvait tout de même prendre le temps de se refaire des forces.
Elle respira profondément et ferma les yeux un instant. L’air était si différent, ici, de ce qu’on pouvait sentir au ghetto de Cristal, c’était ressourçant, mais l’air était frais et sa faiblesse passagère ne lui permettait pas de garder son corps aussi chaud qu’à l’habitude et, aussi, elle frissonna. Elle ouvrit les yeux pour regarder en direction d’où elle était arrivée, espérant qu’elle verrait le jeune homme venir à sa rencontre. Un doux espoir qu’elle chassa aussitôt en se sermonnant intérieurement : qu’avait-elle à attendre ainsi la présence de cet Emerick. Pourquoi le laissait-elle avoir un tel effet sur elle?

Nous étions rendu dans une cabane, elle nous avait soigneusement téléporter et je commençais déjà à m'habitiuer un peu. C'est vrai que ce n'était pas très conseiller de les laisser ensemble et je répondis par un sourire avant qu'elle sorte. J'ai déposer Théo dans un lit, à la vue de Sadiah, elle était ravissante même vu de l'intérieur, surtout que le soleil réflétait sur elle. J'ai pris des plaques de métal par-ci et par-là pour les mettre à terre devant la chambre où j'ai mis le prisonnier. J'ai tapper mes mains pour ensuite les déposer sur les plaques, j'ai créé des poteaux, comme une prison, pour qu'il reste à l'intérieur au cas ou. J'avais encore un bon une demi-heure devant moi, quoi faire? J'ai regarder par la fenêtre et je me suis dis, pourquoi ne pas mieux la connaître, me faire bien amie avec.

J'ai marcher tranquillement vers la porte et j'ai enfiler mon manteau, mince, en sortant dehors, mes gants aussi. Je marchais vers elle, sous les reflets du soleil, elle est résplandissante(pas sur ce mot la xD). Je me suis assis à côté d'elle et j'ai lacher un soupr de soulagement parce que on était enfin tranquille, pour trente minute. Je me suis retourné vers elle et j'ai dis avec un sourire.

-Nous voilà un peu tranquille, pour à peu près trente minute. Alors nous pouvons un peu discuter, apprendre à ce connaître, si ta envie bien-sûr?

Je la regardais au plus profond de ses yeux, on dirait que je pouvais tout savoir seulement en regardant là. J'ai aussi regardé tout le reste de son corps sans m'attarder sur aucune endroit, pas comme les gars obsédé, en faite, j'ai jamais vraiment été obsédé, j'avoue que je respect les femmes. J'ai continuer en disant.

-De où viens-tu? Pour tout de suite répondre pour moi, je viens de Rubis pour ma part.

J'étais heureux d'avoir une conversation avec elle, c'était même mieux que parler de science avec les autres! J'avais même le goût de lui prendre la main, mais j'étais un peu gêner de faire ce geste. Je restais là, assis à s'est côté ,es deux mains derrière mon dos, s'accrochant après le banc comme pour faire un appui, j'attendais sa réponse.

[HJ : C’est « resplendissante » ^^.]

Elle le vit arriver et ne put s’empêcher de lui sourire, il avait ce charme qu’elle appréciait. Il vint s’asseoir à ses côtés. Il lui demandait si elle avait envie de discuter, d’apprendre à se connaître. Elle était loin d’être certaine que c’était une bonne chose, car il allait probablement poser des questions auxquelles elle ne pourrait donner une réponse franche à un membre de la FPA. Première question : d’où viens-tu? Déjà un problème, elle ne pouvait pas lui dire être née à Fées, car il ferait le lien qu’elle n’était pas humaine. Il fallait occulter cela d’office et passer à la phase II de sa vie.

- Rubis… je n’y suis jamais allée, mais semble-t-il qu’il y a encore quelques belles forêts par-là, lui dit-elle simplement. Pour ma part, je réside en la province d’Émeraude.

C’était vrai… le ghetto de Cristal faisait partie de cette province, elle n’était pas obligée de préciser exactement à quel endroit, non? Pendant qu’elle lui répondait, elle suivait ses pensées. Il avait eu envie de prendre sa main. Cela aurait dû réchauffer le cœur d’une jeune femme normale, mais celui de Sadiah se glaça. Non, il ne fallait pas, elle ne pouvait pas laisser tomber ses barrières, pas devant un membre du camp adverse. Quelle étrangeté du destin, tout de même, que son âme sœur soit dans le mauvais camp.

- L’homme que tu as protégé, c’est ton ami?

Subtile question qui pouvait lui apporter de bien intéressantes réponses. Elle l’écoutait parler de sa relation avec Théodred [j’imagine que tu me réponds au moins quelque chose lol] avec grande attention, mais, curieusement, sa découverte d’un nouveau métal était moins importante en cet instant. Son cœur battait la chamade et elle avait envie de se rapprocher d’Emerick. Elle devait trouver un moyen de se sortir de là avant de céder.

- Tu… euh… ça te dirait de marcher un peu?

Sur ce, elle se leva d’un trait, comme si elle avait un ressort dans les jambes, puis elle fit quelques pas et s’arrêta. L’instant d’après elle se retourna, comme pour ajouter quelque chose, mais elle se trouva nez à nez avec Emerick. Son souffle se coupa, elle n’en pouvait tout simplement plus. Elle ferma les yeux et déposa un doux baiser sur ses lèvres… deux, trois secondes, c’était si tendre. *Mais qu’est-ce que je fous-là?* Elle se ressaisit, écarquilla les yeux et recula, embarrassée.

- Je… désolée, bredouilla-t-elle.

Puis, sans ajouter un mot, elle tourna les talons et se dirigea vers le garage.

Elle venait d'Émeraude, une assez belle province que j'aime venir. Elle me posa une question sur Théo, devais-je parler de lui? J'avoue que j'avais une grande confiance en elle, comme si je la connaissait depuis longtemps. J'avais peut-être un peu trop confiance, mais je sais pas pourquoi, je lui ai dit des informations quand même.

-Théo est un bon gars, il a jamais vraiment rien fait de mâl sauf pour sa découverte. Je suis souvent avec lui, mais il devient de plus en plus fou, il pense des trucs qui sont même pas vrai et il essait d'inventer de nouvelles inventions, mais il a de plus en plus de difficulter.

Elle me proposa d'aller marcher, pourquoi pas? Sa ferait du bien non? Elle c'est levée rapidement et j'ai décidé de faire de même, avais-je fais une gaffe? J'étais derrière elle et elle c'est retourner pour me parler, nous étions proche l'un de l'autre. Elle a approché son visage et elle ma donner un doux et tendre baisé, je ne m'y attendais pas du tout pour toute avoué. C'était superbe, ses lèvres étaient tellement douce que j'aurai fais durer sa plus longtemps, mais elle arréta au bout de trois seconde, elle avait donc des sentiments pareil au mien, elle ressent la même chose que je rescent pour elle? Elle c'est excuser, pas besoin, j'ai bien aimé sa moi aussi et elle est partit vers le garage. Je l'ai retrouvé à l'intérieur, je me suis rapprocher d'elle et j'ai dit d'un ton normal.

-Tu n'as pas à t'excuser, laisse moi t'avouer que je crois rescentir la même chose pour toi. Tu es une fille intélligente et belle, tu as tous pour être parfaite. Même que je pense que si tu n'aurais pas bouger, je serai rester encore longtemps comme sa.

J'ai mis ma main sur la sienne, juste pour lui dire que tout allait bien. Je la regardais encore avec mon sourire, son visage si doux pourtant. J'ai dis d'un petit ton, pas trop fort.

-Oui, je crois que je suis amoureux de toi.

J'ai ensuite lacher sa main, un peu gêner, mais je la regardait encore. Avait-il un problème, avais-je fais quelque chose de mal pour qu'elle parte en s'excusant? Pourtant, je suis sûr qu'elle n'a rien fais de mal, sa m'avait juste rendu plus heureux de recevoir ce baisé. J'attendais sa réponse, avec un peu de peur de me faire faire un refus, mais j'attendais quand même, de l'espoir était en moi qu'elle m'aime aussi...

Quand Sadiah était entrée dans le garage, elle sentait son pouls fébrile. Il était extrêmement rare que quelque chose lui fasse perdre son sang-froid. À cause de son enfance, les sentiments amoureux l’avaient toujours rendue inconfortable, mais jamais à ce point. Quand elle pensait à lui et qu’elle se rappelait qu’il servait la FPA, c’était comme un coup de sabre parmi les sentiments qu’elle pouvait éprouver pour lui. Elle était attirée par lui comme jamais aucun homme ne l’avait attirée, mais elle ne pouvait se permettre d’aimer un ennemi. Quelle cruauté du destin de la laisser se tourmenter ainsi dans un amour impossible.

En faisant d’immenses efforts pour contrôler ses émotions, elle marchait dans le petit entrepôt adjacent à la maison. Il y avait un bail qu’elle n’y avait pas mis les pieds… depuis sa dernière course en fait. Les murs et les tables d’atelier étaient encore couverts de pièces, d’huiles, d’outils et la poussière s’y était accumulée. Au centre, se trouvait une silhouette automobile sous une bâche grise, vraisemblablement le dernier bébé de Fraden. Il y avait tant de souvenirs dans cet endroit et la tristesse des derniers moments de son ami se mêlaient au tourbillon de sentiments contradictoires qui virevoltait dans chaque recoin de son âme. Oui, il était extrêmement rare que quelque chose l’affecte ainsi, mais, en cet instant, son cœur était assailli et elle se sentait si vulnérable. Elle ne voulait pas se montrer ainsi devant Emerick. Elle s’adossa à une table d’atelier et laissa pensivement les doigts de sa main droite glisser sur les pages d’une esquisse de Fraden posée sur l’établi, des dessins techniques d’un moteur. Elle avait tourné la tête pour la regarder, mais ses yeux étaient posés sur elle sans vraiment chercher à la comprendre. Non, ils tentaient plutôt de fuir le regard d’Emerick qui s’avançait vers elle. C’était encore plus difficile alors qu’il lui ouvrait son cœur et qu’il passait sa main sur la sienne, ce contact était si doux et Sadiah le savoura un instant en fermant les yeux, puis elle leva la tête vers lui. Il disait être amoureux d’elle. À cet aveu, elle ressentit une grande chaleur l’envahir. Elle avait envie de se blottir dans ses bras et de l’embrasser à nouveau, et encore plus maintenant qu’il lâchait sa main et qu’elle sentait qu’il craignait d’être repoussé, mais elle ne s’en sentait pas le droit… pas tant qu’il ne saurait pas exactement à qui il avait affaire. Le regard ambré de la jeune femme brillait de mille éclats, des éclats de joie, mais aussi de douleur et de tristesse, difficile à lire mais si chargé d’émotions.

- Amoureux de moi tu dis… commença-t-elle à voix basse, encore et toujours cette voix si douce mais un peu tremblante en cette seconde qu’elle eut peine à reconnaître elle-même tellement cela ne lui ressemblait pas. Je ressens, moi aussi, tellement de sentiments pour toi… mais, ce qui me bouleverse, tu vois, c’est que lorsque tu en sauras davantage sur moi, tu ne voudras peut-être même plus que je t’approche.

Un faible rictus apparût à la commissure de ses lèvres, un espèce de petit sourire en coin trahit par ce regard triste, comme si elle disait : ça me détruit, mais je n’y peux rien, alors je m’y résigne.

- Je suis une fée Emerick… une fée du ghetto… non-humaine et indigne de l’être selon ce que je peux lire dans les visages des humains. Je n’ai plus d’ailes, car on me les a retirées pour que je puisse vivre librement sans me sentir constamment opprimée, mais je n’en demeure pas moins une fée.

Cette révélation ne la mettait pas tellement dans l’eau chaude quant au Front féérique, mais elle allait mettre à rude épreuve sa relation avec Emerick si ce dernier était un tant soit peu raciste. S’il était comme la majorité des représentants de sa race, il allait simplement sortir et la rayer de sa tête, peut-être sans lui adresser d’insultes, avec un peu de chance. Après avoir prononcé le dernier mot, elle s’avança vers le véhicule, ne regardant plus Emerick, car elle craignait de lire de la haine en lui. Elle empoigna la bâche, soupira, puis la tira pour regarder le bolide qui se trouvait dessous. La lourde couverture glissa sur le sol en soulevant la poussière, découvrant une magnifique Speeder 9040 noire. Sadiah l’évaluait du regard, constatant que Fraden avait fait une superbe trouvaille et avait aussi déjà fait un beau travail dessus. Elle marchait autour en l’observant, se dirigeant vers la portière du conducteur. Emerick était toujours là. Son dernier commentaire ne l’avait pas fait fuir, c’était déjà ça. Sadiah ouvrit la portière et tira le levier qui permettait de dégager le loquet du capot, puis elle alla l’ouvrir afin de jeter un coup d’œil aux entrailles de cette machine. Elle était revenue près du jeune homme pour cela et elle glissa un coup d’œil dans sa direction.

- Tout à l’heure au champ de courses, tu me disais être contre la torture… As-tu idée des cris de douleur, des litres de sangs versés et des larmes qui maculent l’histoire de la FPA dis-moi?

Voilà, elle entamait le vif du sujet, déjà prête à se téléporter à la moindre réaction négative de la part de cet homme. Elle reporta son attention sur le moteur, mais elle sondait, en même temps, l’esprit d’Emerick, tous sens en alerte.

- Ils ont traîné mes parents dans un de leurs camps et je ne sais même pas s’ils sont encore en vie… De l’enfant que j’étais ils ont fait leur esclave… Un de leur officier a violé ma sœur et il l’a tuée, et s’il ne m’a pas tuée aussi ce n’est pas faute de ne pas avoir essayé.

Elle parlait en tripotant les fils et les branchements, le moteur avait été neutralisé et elle cherchait à le remettre en condition.

- Comment quelqu’un comme toi peut-il…

Elle soupira à nouveau et se mordilla la lèvre inférieure pour s'interdire de poursuivre sa phrase.

- Je peux réparer la Speeder en moins d’une heure, tu pourras la prendre si tu le souhaites pour repartir avec ton ami. D’ailleurs, je crois qu’il se réveille.

Oui, son ouïe fine venait de percevoir la voix du scientifique dans la maison et, déjà, elle s'était résignée à l'idée qu'il voudrait partir sans elle.

Elle était une fée, je ne sais pas ce que cela peut me faire puisque je n'ai rien contre les féés. Je la regardais parler et bouger, très attentif à chacune de ses paroles et j'en croyais pas. Je n'avais jamais vraiment étudier le passé de la FPA, jamais fais attention à ce qu'il faisait, moi, je faisais juste mon travail et j'obeissais aux ordres. Entendre tout sa ma bouche bée, comment des personnes supposé protéger la société fait sa, pourquoi torturer des fées. J'ai serrer les poings, pas contre Sadiah, au contraire, contre la FPA qui ma tout cacher depuis le début, qui ma rien dit du tout.

Une idée frappa ma tête, peut-être que la FPA à envoyé ces hommes pour tuer Théo, ils croyaient que j'étais qu'un scientifique qui ne sait pas ce défendre et ils croyaient que je ne peux pas le sauver. Tgéo serrait au courant des manigances de la FPA, voilà pourquoi il voulaient le tuer! J'ai laché un cri de rage en frappant le mur, elle devait avoir lus mes pensés, mais je devai quand même lui dire. Mon poing avait décoler droit dans le mur pour faire un beau gros trou, je me suis adrésser à Saad comme qui suit.

-Ces enfoirés, ils ne connaissent pas mon contrôle de l'alchimie, ils ont crus que je serai incapable de protégé Théo et ils ont envoyé des mercennaire pour le tuer. Théo sait quelque chose qu'ils veulent pas qu'il sache, tu as raison, la FPA sont des sales trou du cul. Je suis désolé, je n'ai jamais su pour la torture, sa devait être dans la bibliothèque confidentiel à Ceros, lui, il m'a bien roulé!

J'ai enlevé mon poing du mur, heureusement que c'est mon poing bionique, sinon sa l'aurait fais mal. Je ne voulais pas partir, je voulais rester avec elle, le plus longtemps possible et venger ce qu'ils ont fait avec elle. Une idée traversa mon esprit, je suis dans la FPA, pourquoi pas les espionner, donner des informations secrête aux fées pour leur permettre d'écraser Ceros! Je me suis rapprocher de Saad et j'ai dis avec une voix déterminer.

-Non, je ne veux pas partir sauf avec toi, je resterai et on va partir toi, moi et Théo. Je dois de confier u petit plan que j'ai eu, comme tu le sais, je fais partit de la FPA, je peux donc te révéler des trucs sur eux et vous aidez à les anéantir, à montrer à Ceros de quel bois je me chauffe. Va chercher Théo, je m'occupe du moteur d'accord?

J'attendais une réponse, je pouvais le réparer en moins de une ou deux minute. Je regardais Sadiah au plus profond de ses magnifique yeux, elle m'avait libéré. Je pensais que je serai jamais amoureux parce que je pensais que ma vie c'était la science, l'alchimie et grâce à elle, je sais enfin c'est quoi le vrai bonheur. Aussitôt qu'elle va être aller chercher Théo, je me met au moteur pour partir aussitôt quelle revient, à moins qu'elle triche en ce téléportant.

[Ok, la je crois que tu vas aller chercher Théo et quand Saad va revenir, l'auto va être réparer donc tu vas pouvoir dire qu'on part ]

La réaction d’Emerick surprit la magicienne et elle sursauta en entendant le poing heurter le mur de plein fouet. En le sondant, elle comprenait qu’il était en colère et elle pouvait sentir chaque éclair de rage dans son esprit, mais cette émotion était si forte qu’elle n’arrivait pas à savoir ce qui l’avait provoquée, comme si le signal était brouillé. À cet instant, elle crût qu’il était peut-être en colère contre elle, mais elle attendit tout de même la suite. Heureusement, il s’expliqua. Son analyse de la situation n’était pas bête du tout. Elle l’écouta lui expliquer son plan alors qu’elle commençait, à nouveau, à pouvoir suivre le cours de ses pensées et l’idée d’avoir un espion dans les rangs de la FPA lui plaisait beaucoup, cela serait un atout majeur pour le FF, leur permettrait beaucoup plus d’anticipation, mais c’était une idée très dangereuse.

Avec son sang-froid habituel, Sadiah s’approcha d’Emerick. Elle sentait encore la colère dans son cœur, elle était trop grande pour se dissiper si facilement et elle craignait qu’il ne fasse une bêtise sous le coup de l’impulsivité.

- Ce que tu proposes est très risqué, Emerick. J’ai bien peur que Ceros soit beaucoup plus puissant que tu ne peux l’imaginer. S’il découvre tes véritables intentions, il va certainement te tuer… ou t’utiliser contre nous. Tu n’es pas obligé d’y retourner tu sais, tu pourrais juste venir avec moi si tu souhaites nous épauler, tu en sais certainement déjà beaucoup pour nous aider grandement.

Elle le regardait avec insistance, des éclats ambrés dansaient dans ses yeux, il devait bien réfléchir à deux fois avant de se lancer dans ce plan.

- Et… je… je ne veux pas te perdre, ajouta-t-elle avec cette esquisse de sourire un peu triste.

Elle caressa sa joue doucement du revers de ses doigts, elle aimait ce contact, puis elle déposa ses lèvres sur les siennes, un baiser aussi tendre que le précédent, mais où elle prit le temps de goûter et découvrir ses lèvres. Elle était vraiment heureuse qu’il soit de son côté, son intuition ne l’avait pas trahie, il était quelqu’un de bien qui ne pouvait endosser les horreurs commises par Ceros et son armée.

- Eh ben dis donc!

La voix de Théodred lui fit couper court à l’enlacement, il avait probablement entendu et reconnu le cri d’Emerick et était venu au garage. Embarrassée, la fée se sépara du jeune homme.

- Emerick… hmmm… j’ai comme qu’y dirait quelques interrogations, entama Théo avec un air qui se trouvait quelque part entre un tantinet moqueur, douloureux et endormi. Du genre : qu’est-ce qu’on fout ici? C’est où « ici »? Pourquoi j’ai un mal de crâne épouvantable? Qui c’est l’autre gusse dans la maison? Et… qui est la demoiselle?

Sadiah était plutôt gênée de la situation et, aussi, laissa-t-elle Emerick répondre. Elle commençait à penser qu’il était l’heure de s’occuper, aussi, de « l’autre gusse », histoire de savoir vraiment à quoi s’en tenir et confirmer ou non les intuitions d’Emerick.

- Je vais voir si l’autre s’est réveillé.

Sur ce, elle sortit du garage et se dirigea vers la maison.

{HJ : Ouais, je me disais qu’on pourrait tout de même faire parler l’autre avant de partir ^^. Tu pourrais laisser Théo réparer la bagnole et venir avec moi, ou bien tu me laisses y aller toute seule et tu répares la Speeder avec ton copain. Si tu choisis cette option, ben… compte entre cinq et dix minutes avant que je revienne. C’est que… j’avais idée que le gars pourrait nous avouer des trucs, par exemple l’emplacement d’un deuxième labo où ils répètent les travaux de Théo ou bien autre chose et on se rendrait là avec la Speeder pour en savoir plus. Bon, ça pourrait être une autre info aussi. Ou bien, il ne nous dit rien du tout et on va simplement mettre Théo à l’abri quelque part à Émeraude.^^ Je te laisse décider.}

J’avais encore énormément de colère au fond de mon âme. Il m’avais cacher sais choses horrible depuis le début sans m’en informer en aucun point. Mais dans un sens c’était peut-être leur but. Ne pas informer les membres de la FPA de leur passer pour essayer de les garder le plus longtemps possible. Mais malheureusement il avait cacher la vérité au mauvais gars. Je ferma les yeux pendant quelque instant puis reprit une profonde respiration pour me calmer et pour, peut-être, ne pas perdre la tête devant Saad. Lorsque je rouvrit les yeux, je distingua Saad qui c’était rapprocher de moi. Je ne pu empêcher un petit sourire en coin de venir ce loger sur le coin de mes lèvres. Comment ne pouvais-je pas avoir ce petit sourire lorsque je la sentais près de moi.

-Je sais très bien que sais risqué… Mais je serait prêt a risquer n’importe quoi qui pourrait te venir en aide… Et je ne me laisserai pas faire par Ceros je peut te le promettre.

Elle venait alors porter le bout de ses doigt contre ma joue. Cette joue qui quelque seconde aurais peut-être paru tiède, et qui maintenant, chauffait intensément. Mais cette chaleur qui était précédemment sur ma joue ce propagea rapidement dans presque tout mon corps lorsqu’elle déposa ses lèvres sur les miennes. Un baiser des plus tendre et qui dura plus longtemps que le précédent. Maintenant que je lui avait dit ce que je ressentait. On avait peut être plus peur de faire un mouvement envers l’autre. Je prit aussi le temps de savourez ce baiser et de goûter a ses lèvres, leur douceur et leur bien que ses lèvres a elle m’apportais. J’avais le goût de la prendre et de la serrer dans mes bras pour l’étreindre un peu plus. La sentir plus près de moi. J’allait le faire, mais le bruit d’une voix me fit arrêter mon élan et Pour Saad ce fut d’arrêter le contact entre nos lèvres. Elle ce sépara de moi par la suite quelque peu embarrassé.
Je regarda Théo puis lui sourit. Tout ses minimes question m’ont mit un rictus sur les lèvres.

-Du calme Théo… Dis-je en même temps qu’un petit rire. Écoute… On est ici parce qu’au stade de course tu tes fait tirer dessus par plusieurs personne. Toi tu a perdu connaissance. Et cette jeune demoiselle comme tu le dit, sais grâce a celle-ci que nous somme encore vivant. Elle nous a alors emmener dans cette maison pour nous empêcher de nous faire remarquer par d’autre personne.

Je regarda Saad pendant quelque seconde puis reporta mon regard sur Théo.

-Pour ce qui est de l’autre gars, sais un de ceux qui nous on tirer dessus. On la alors emmener ici pour espérer peut-être avoir des information…

Je soupira quelque peu puis orienta mon regard une fois de plus vers Saad. Je ne pouvais détacher mon regard de celle-ci tellement elle m’enivrait. Puis elle annonça qu’elle allait voir l’autre gars pour voir-ci celui-ci ce serait réveiller ou autre. Je la laissa partir puis m’avança vers Théo pour quelque instant.

-Théo… Est-ce que tu pourrais essayer de faire marcher le moteur de cette auto ? J’aimerais accompagner Saad pour être sure qu’il ne lui arrive rien.

Je lui fit un sourire puis je tourna les talons et me dirigea en direction de la porte du garage. J’empoigna solidement le pognée de porte l’ouvrit et partie en direction de l’Extérieur. Je regarda autour de moi puis que remarqua Saad et partie en ça direction. Lorsque je fut a ses côté je n’hésita en rien et pris ca main dans la mienne. Celle qui n’était pas bionique pour mieux sentir son contact. Maintenant je n’avais plus peur de ses réactions. Je sourit légèrement en coin pour la regarder pendant quelque secondes et ramener mon regard en face de moi.

[HJ : Ouf! Sérieux, j'ai perdu l'inspi pour ce topic, j'essaie de trouver quelque chose pour débloquer, mais, j'y arrive pas. (Tu prends pas tes MP 'Merick lol.) So... qu'est-ce que tu dirais si on faisait un saut dans le temps? On pourrait sauter de quelques semaines alors que tu es revenu vers la FPA pour cueillir des infos à transmettre au FF? Ou bien à un autre moment? Peut-être voudrais-tu faire un RP avec Emerick et un membre de la FPA avant (avec ton nouveau statut d'espion lol)? Enfin, à moins que tu aies une bonne idée pour la suite, moi je laisserais tomber ce topic-ci... Tu peux me contacter par MP ^^.]