au devant des ennuies...[PV:Akiro + Libre]

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Je n'en pouvais plus. Je me sentais obligé de surveiller la province d'Opale. Je ne supportais pas l'idée de voir Finde de la sorte et dieu seul sait, si il existe encore et si il prends le temps de vraiment me regarder du haut de son fauteuil céleste, ce que Ceros mijotait. Hors, je voulais savoir car malgré la conversation d'hier soir, l'entrainement avec Zack aujourd'hui, je n'arrivais pas à me sortir de l'idée que Finde avait peut-être raison. Sans vraiment avertir le reste des chevaliers, et je savais que j'allais me faire gueuler après par Zack si je croisais sa route pour ma témérité, je m'étais vêtu de vêtements sombres pour ensuite quitté ma demeure. Je me téléporta dans une forêt, tout près de la province d'Opale. Je connaissais cette endroit, après avoir fouler le sol il y a de cela quelques annés. J'étais armé, prête à me défendre mais surtout, je voulais surtout espionner.

Comment en étais-je rendu là? J'étais poussé maintenant par le désir de lui faire payer ce qu'il faisait aux autres à longueur de journée. Une chance, Finde était encore en vie. Je me permis de sourire même si je devais garder l'oeil et l'oreille ouverte à tout bruit au chose suspecte. Et justement, j'eu l'étrange sensation d'avoir été suivit. Je scrutais les environs de mes sens magiques. Je ne pouvais dire qui c'était mais une chose était sûr, ce n'était pas l'ennemi. Du moins pas encore mais j'étais tout de même au pied de la province d'Opale, là ou l'ennemi avait son quartier principale. Je mit tout de même ma main sur la garde de mon épée et la décocha dans un cliquetis métalique à peine audible avec une lenteur qui aurait pu coûter ma vie si un assassin avait été réellement derrière moi. Je fit volte-face et je porta la lame avec aisance et rapidité, au dessus du jeune adolescent qui se trouvait là et en soupira je réussi à prononcer quelques mots qui ne fut pas sans gêne:

-Que fais-tu là? C'est pas l'endroit pour un écuyer de ce promener à cette heure-ci de la nuit. Quel est ton nom?? Après tu retourneras au Front Féérique.

Tout en demeurant concentré sur l'écuyer, je savais que je semblais directe et dur. Mais ce n'était vraiment pas la place pour jouer et encore moins pour aller compter les champignons une fois la lune haute dans le ciel. Mais qu'avait-il en tête celui-là? Mourir? Toute fois, je sondais constament la forêt, je ne voulais aucunement attirer l'attention, faire tomber ma couverture et encore moins mettre la vie de l'écuyer qui allait bientôt être abdoubé à un maître en péril. J'avais l'intention d'utilisé mon pouvoir d'invisibilité durant 2h, afin de me rapproché de la tour et tenter de percé ou de trouvé une faille à ce système. Car cela n'allait pas être la dernière escapade, je voulais aider l'ordre à ma façon et il semblait que la désobéissance était mon fort...

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Ma discussions de la veille avec Markos avait durée juste assez longtemps. Nous avions parlé de plusieurs choses, mais tout avait tourner dans le flou. Puisqu'il n'était pas trop tard, et que j'étais ennuyé par le son monotone du feu, de plus...je voulais un peu de fraicheur. J'étais donc sortit prendre l'air, et j'étais parti en direction de Rubis, ma Province Natale. Le voyage avait été long, et ce n'est qu'en marchant tout la nuit, que j'arrivai près de mon ancienne maison. Elle était abandonner. J'y étais entré, il n'y avait plus de courant, et le téléphone avait été coupé. Dans l'ancienne chambre de mes parents, il n'y avait plus rien qui autrefois était taché de sang. En allant dans ce qui fut autrefois ma chambre, j'eu un petit soupir en sourire. Les mur était peint avec des couleurs éclatantes, allant du lime électrique jusqu'au bleu royal en passant par le orangé. Le lit y était toujours, et en m'y allongeant je m'endormi de suite, les pied dépassant à partir du millieu de mes molets...

En me réveillant, j'eus le réflexe de regarder à ma droite, ou j'ai habituellement mon cadrant. Cela me revint alors, je regardai donc à mon bras, le bracelet argenté, 20h37... Étrangement, je n'avait pas faim, cependant...quelque chose me poussait à vouloir aller à un point précis à Opale. Je sortis de la bâtisse délabrée, et cherchai un taxi, tout en marchant en direction de la province au Nord. Il y eus finalement une voiture jaune qui s'offrit pour me transporter. Le chauffeur me demanda ma destination. Je lui dit simplement :

- Le plus loin à l'intérieur de Opale ou vous pouvez m'amener avec ça...

Je sortis alors de ma poche, 2 billets de 20$ et 1 de 10$. Satisfait, il pris l'argent et démarra. Un balade en voiture de devrait pas trop me faire de mal, après tout...j'avait marché tout la nuit. On roula pendant près de 40 minute, il était déjà 21h29. J'ouvrit la portière et sortis, sans merci au chauffeur, car je savais qu'il avait éviter certains racourcis. Mon apprentissage de Chevalier était contre la vengeance, mais personne ne le saurais... En utilisant mon pouvoir, je fis fondre les pneus droits de la voiture tout juste avant qu'elle parte. Lorsqu'elle s'arrêta et que le chauffeur en sortit pour comprendre, j'étais déjà loin. Même que j'avais déjà pénétré la forêt.

Étrangement, tout droit devant moi, apparue quelqu'un, peut-être à 50 mètres. Je pus distinguer sa silouette comme étant celle d'une femme, mais elle était bien trop élancée pour être humaine, j'en conclue donc que c'était une elfe, par l'agilité avec laquelle elle comença à se déplacer. Je la suivit du mieux que je pus, et bientôt elle s'arrêta. Je me rapprochai donc d'avantage. Puisque je ne savait rien sur cette personne, je sortit un de mes pistolet. Je ne fis pas attention au bruit subtile de son épée. Lorsque je fut à moins d'un mètres, l'elfe se retourna, brandissant son arme au dessus de sa tête. Lorsqu'elle posa son regard sur moi, elle reconnut de suite mon rang, et demanda mon nom pour ensuite me renvoyer à la Montagne de Cristal. La visant subtilement, le bras bas, je dis simplement.

- Un Chevalier ne devrait pas menacer autruit si ce dernier n'est pas menaçant.

Je lui fis signe de tête pour envoyer son attention sur mon arme. Ensuite, je rajoutai.

- Maintenant, baissez votre épée et j'en ferai autant.

Elle pourrait bien m'accuser du même affront, cependant, je n'avais aucune idée de son identité et elle n'avait pas abaisser son épée après m'avoir identifié. J'était donc inoncent et elle, disont-le, coupable.

Je marchais depuis je ne sais combien de temps. Pourquoi marchais-je comme ça en trainant cette vulgaire épée au sol. J’aurais tout bien put la levé et la rangé mais non je la faisais trainé au sol comme un paresseux, un misérable et un faible. Je ne me sentais pas comme ça pourtant. Je me sentais bien depuis quelque jour je dormais si bien, je m’entrainais régulièrement comme aujourd’hui avec Liliann. Je ne sais pas ce que j’avais. Au moins cette marche me faisait du bien. Les enfants que j’ai rencontré vinrent me voir et me parler mais je continuai ma route vers je ne sais où car sérieusement j’étais partie sur un coup de tête en me disant que je n’irais pas très loin ce qui n’est pas le cas. Je continuai de marcher et j’arrivai à une taverne. Je plantai mon épée solidement dans le sol avant de rentré dans la taverne.

J’étais seul dans mon coin avec ma cape et mon capuchon me cachant le visage. Je pris quelque chose à boire que je bus rapidement en mangeant. Je me levai et quitta la taverne un peu plus tard. Le ciel était devenu noir. Je continue de marchai mais je revins sur mes pas reprenant mon épée en la sortant du sol. Cette fois-ci j’étais rassasié et je remis mon épée dans son fourreau et repris la marche plus rapidement. Je sondais les alentours car j’étais bien loin des endroits sécuritaires que je connaissais. Je ne mis pas al main sur la garde de mon épée de peur qu’on m’aperçoive sous ma cape et mon capuchon. J’arrivais vers des endroits plus sombres et je sentais quelque chose approché. Je vis une voiture qui passe près me renverser mais heureusement je sautai sur le côté pour l’éviter. Je le vit continuer et s’arrêter non loin. J’étais bien décidé à parler au chauffeur.

Je vis quelqu’un de petite taille sortir du véhicule et ce diriger plus loin. Lorsque je le sondai et que je vis ce qui arriva au pneu de la voiture je reconnu un jeune écuyer. Mais que faisait-il là, et pourquoi faire du mal à quelqu’un? Je le suivis laissant le chauffeur à son triste sort mais je levai la voiture pour l’aider à changer les pneus, avec mon pouvoir de lévitation je surveillai le petit par les airs. Je le vit plus loin tombé sur quelqu’un qui le menaça d’une arme. D’un geste rapide je pris ma dague et la lança sur l’épée devant le jeune écuyer avant de sonder la personne. Une certaine colère m’envahit lorsque je reconnu ma sœur d’arme encore entrain de désobéir. Mais cette fois-ci c’était bien plus grave. Je redescendis au sol et alla vers les deux membres de l’ordre en les sondant.

Lorsque j’arrivai auprès des deux personnes ils me regardèrent étrangement. Je retirai mon capuchon tranquillement laissant apparaître mon visage mécontent devant les deux imprudents. Je ne dis rien les observant un moment et en les sondant. Je repris ma dague qui était au sol un plus loin. En me retournant je fis quelque pas et pris une grande respiration. Je leur dis sur un ton de vois sévère en commençant par le jeune écuyer :

« Que fais-tu la jeune inconscient? Ne sais-tu pas que tu n’es pas prêt pour être ici? Et si je me souviens bien nous ne sommes pas là pour causer des problèmes. Alors pourquoi avoir fait fondre les pneus de la voiture? » Lui dis-je sévèrement. Je me retournai ensuite vers Liliann et lui dis :

« Et toi! Que fais-tu ici? Encore une fois tu me désobéis mais le pire c’est que cette fois-ci tu court de grand risque. Tu avais raison en pensant que j’allais être mécontent de ce que tu fais. Je ne chercher pas à te crier dessus mais on dirait que tu ne veux que ça. Et en plus il y a un écuyer avec toi. Je sais que ce n’est pas toi qui l’as amené ici mais contais-tu sérieusement continué avec un écuyer? Et pourquoi ne rien m’avoir dis? Penses-tu que je n’ai pas confiance en toi ou que je t’empêcherai de faire certaine chose? »
Lui dis-je sur un ton de voix sérieux et mécontent.

J’attendis une réponse d’un des deux pour continuer cette discussion. Ce n’était pas une très bonne idée de leur par, j’avais plutôt confiance en eux surtout en ma sœur d’arme qui venait de me décevoir profondément. J’avais placé mes espoirs sur son caractère mais on dirait que celui-ci me conduisait vers la perte d’une vie et je n’étais pas prêt à accepter cela. Je ne savais pas quoi leur dire pour qu’ils prennent conscience de leur acte surtout le jeune écuyer même pas encore adoubé. Il n’avait pas appris à ce battre, aucun chevalier ne lui avait enseigné la base du combat et il ce tenait là près des pires dangers qu’il peut courir sur ce continent qu’est Enkidiev.

J'étais là, à dévisager cette écuyer un peu téméraire, qui tenait ce pistolet pointer sur moi. Il me faisait pensée à moi d'une certaine façon. J'eu un demi-sourire accroché aux lèvres, on était là à ce juger l'un l'autre. D'une certaine façon, j'étais en faute. Mais qui aurait su que la personne qui se tenait derrière moi il y a de cela quelques minutes auraient été un écuyer et non un assassin à la solde de Ceros? J'étais dans la forêt tout près de la province d'Opale, avec mes idées et mes motivations farfelues. Tout ce que je voulais ce soir était aller jeter un coup d'oeil, mais l'intervention du jeune adolescent me remit peut-être les idées en place. Toute suite, l'image de ma fille Miea me traversait l'esprit, allais-je risqué ma vie pour une étourderie et faire en sorte que ma fille se retrouve sans famille? J'étais pas bien préparer, d'ailleurs, j'allais au devant des ennuies, seule, que pouvais-je espérer trouvé? Une faille dans le foutu système de Ceros pour qu'un jour je cherche la deuxième personne qui me tient le plus au monde...? Distraite, j'écoutais les dire de l'écuyer:

- Un Chevalier ne devrait pas menacer autruit si ce dernier n'est pas menaçant. Maintenant, baissez votre épée et j'en ferai autant.

Toute fois, je choisis de ne pas répondre. Présentement, j'étais dans un tel état et je ne voulais aucunement expliquer au jeune adolescent qui se trouvait là ce que j'allais faire et qu'il était dans mes pattes. J'allais baisser mon arme lorsque l'épée que je redoutais le plus, barra ma route entre l'écuyer et moi. Cette épée, cette énorme épée appartenait à Zack, son supérieur. Mentalement, je jurais milles mots, mon plan n'allait tout de même pas ce produire ce soir et je risquais, à tout jamais d'être mise en de hors de l'ordre pour mon manque de jugement et de discernement. Pour avoir prit les devant et risquer ma propre vie et surement qu'il allait pensée que je risquais celle de l'écuyer avec sa. Zack se tourna d'abord vers l'écuyer et lui donna tout un sermont. Pour ensuite se retourner vers moi, je percu la déception dans son regard azure et je crois que ce fut la première fois ou je détournais mon regard du sien. J'attendais sa réponse et je m'attendais au pire, en passant à ma petite fille.. :

« Et toi! Que fais-tu ici? Encore une fois tu me désobéis mais le pire c’est que cette fois-ci tu court de grand risque. Tu avais raison en pensant que j’allais être mécontent de ce que tu fais. Je ne chercher pas à te crier dessus mais on dirait que tu ne veux que ça. Et en plus il y a un écuyer avec toi. Je sais que ce n’est pas toi qui l’as amené ici mais contais-tu sérieusement continué avec un écuyer? Et pourquoi ne rien m’avoir dis? Penses-tu que je n’ai pas confiance en toi ou que je t’empêcherai de faire certaine chose? »

Ces paroles m'avaient piqué comme une mouche, une seconde claque en plein visage. Étais-je que désobéissante dans cette ordre? N'étais-je pas digne de confiance? Mais ou avais-je la tête? Nourrir de tel espoir, je devais voir par moi-même, mais j'avais l'impression que si je le racontais, on me prendrait pour une folle, me demandant ensuite d'abandonné cette espoir médiocre. Que c,étais impossible. Mais je devais voir de mes yeux son corps, je devais le constater sinon je n'avais aucune preuve qu'il était réellement mort. Il était peut-être encore en vie. Attendant que je le délivre...Devais-je faire confiance en mes compagnons qui ont cru, quelques années auparavant que mon mari était mort et que j'allais élevé ma fille seule? Récament, l'envie de le voir une dernière fois était devenu tellement intense. Comment tout dire sans trop dévoilé? Mon regard ce posa sur Zack, il était intense et remplit de tristesse. J'allais pas pleurer, pas ce soir, je ne me le pardonnerais pas. J'avais des faiblesses certes mais pas devant mon chef. Alors, j'en conclut que jouer la carte de la vérité allait me sortir de ce faux pas. Alors, je reprit mon épée et je la rengea dans mon fourreau puis croisant mes bras, je commenca ma réponse avec une voix douce et moins sévère, moins directe que d'habitude. Je cherchais mes mots, sa ce voyait mais je n'étais pas celle qui allait reculé:

-Ce que je fais ici.. c'est une longue histoire. Je le sais, je ne suis tout de même pas insouciante, que je cours d'énorme risque. Toute fois, avec l'un de mes pouvoirs, j'aurais peu m'y rendre sans encombre si sa n'avait pas été de l'écuyer. J'aurais pu, durant 2h ne pas me faire voir par personne. Et avant que tu arrives, je lui avais dit de retourné au Front Féérique, tu me crois pas assez dingue pour amener un écuyer non expérimenté avec moi tout de même? Maintenant, pour ce qui est de si tu as pas confiance en moi ou que tu m'empêcherais de faire certaine chose, Zack.. c'est compliqué. Ceci remonte avant bien que je vous connaisse tous. On a eu, chacun nos encombres et nos comptes avec Ceros. Dans mon cas, mon mari... je pris une pause, cela semblait difficile à dire. Comme si on me retenait dans dire plus. Mais tout devait être dit aujourd'hui. Alors je rajouta: Mon mari... est peut-être encore vivant. Il est peut-être là-bas, au désespoir ou même attendant le moment idéal pour fuir. Zack.... je ne sais pas si il est encore vivant, ou si il est mort. Mais je dois le voir de mes propres yeux pour le croire car je ne croirais aucun mot venant de cet FPA. Je sais.. j'aurais du en parler avant, me confier a quelqu'un, j'ai l'air d'une femme qui nourrit ses propres buts sans rien dire à personne. Mais, aurais-tu risquer la vie des chevaliers et écuyers au complet seulement pour mon simple désir? Au moins de cette manière, si il avait arrivé quelque chose, sa aurait été que moi qui serait morte et non tout l'ordre des chevaliers au complet. Cette ordre qui donne espoir aux opprimés...

Je détourna le regard, mes cheveux cachaient mon visage. J'avais beau avoir jurer de ne pas pleurer, mais une larme perlait déjà sur ma joue. Je risquais tout pour voir mon mari une dernière fois, mais ou avais-je la tête? Et Miea dans tout sa?? Je n'eu pas le courage de regarder Zack à nouveau. Ce qui était contradictoire à ma nature. Moi qui aimait tellement le confronté, dans mes derniers moments, je n'étais même pas capable de le regarder.

J’attendais toujours une réponse d’un des deux. L’Écuyer ne semblait pas vouloir parler et ma sœur d’arme elle n’était pas comme d’habitude. J’attendais toujours les bras croisé. J’avais rangé mon équipement et je me tenais la debout à les observer. Je ne leur dis rien de plus que ce que j’avais dis. De toute façon, pourquoi leur en dire plus. Pas la peine de leur dire que je mécontent plusieurs fois pour qu’ils comprennent. J’attendais leur explication avec impatience. Ils s’étaient tout les deux mis en danger pour rien. C’était assez stupide et suicidaire de leur part que d’aller vers opale seule sans avoir prévenu quelqu’un. Liliann ma sœur d’arme habituellement me défie du regard mais cette fois-ci elle ne me regardait pas. Lorsqu’elle me regarda elle n’avait pas le même regard. Ça m’inquiétait au début, J’eu d’Ont le reflex de la sonder et découvrit de la tristesse en elle. Je m’arrêta avant d’aller trop loin et de découvrir quelque chose qu’elle n’était peut-être pas prête à me dire. Même si j’étais le Chef des Chevaliers ce n’est pas moi qui recevais les confidences. Je ne sais pas pourquoi. Je n’étais pas méchant, peut-être sérieux et je leur disais souvent ce qu’il ne faisait pas comme il le faut mais chacun sais que c’est pour leur bien. Je regardai alors ma sœur d’arme et la laisse s’exprimer si elle le voulait. Étrangement elle ne me parla pas de la même chose. Elle ne réplica pas sur ce que je venais de dire. Elle me parla de son ‘’Mari’’. Voilà qu’elle me parlait de sa vie privé. Sa me faisait étrange car d’entre tous celle que je me suis dis qui ne se confirais jamais à moi était Liliann. Bref je me montrais attentif à elle pour ne pas risquer de la mettre en colère ou de lui faire de la peine. Elle me parla un moment mais elle se tut tout d’un cout. Je la sentis retenir ces larmes. Elle reprit la parole en parlant cette fois-ci de c’est espoirs et de ces sentiments. Elle avait encore espoir que son mari soit vivant. Elle pensait qu’il était là dans la tour, elle ne savait pas si il était mort mais elle voulait en être sur avoir une preuve. Elle arrêta de parler après un moment et elle se détourna de moi. Je sentis la tristesse l’envahir. Je trouvais bizarre ce qui se passait. Sa me déstabilisais un peu de voir Liliann dans cet état, elle qui se donnait souvent une apparence de dur, était en ce moment, devant moi en larme. Je pris une bonne respiration et fit un pas vers elle. Je lui dis tranquillement avec une voix douce et amicale :

« Lili...Je...Je suis désolé pour ce qui c’est passé. Même si je ne suis pas le plus habile dans ce genre d’histoire je sais que tu ne dois pas garder sa pour toi ou rester seule. Il faut nous parler quand tu te sens triste.» Je voulu continuer la discussion amis avant je me tournai vers l’écuyer.

Je l’observai un moment n’étant pas sur qu’il avait toute entendu ce que ma sœur d’arme venait de dire. Je marchai vers lui et me mis à sa hauteur. Je mis ma main sur épaule pour lui envoyé une vague d’apaisement afin de le calmer un peu. Je lui dis alors :
«Va m’attendre plus loin. Nous continuerons cette discussion plus tard. Mais ne vas pas trop loin je ne voudrais pas qu’il t’arrive quelque chose.» lui dis-je tranquillement.

Après que l’écuyer se sois éloigner je marchai vers Liliann et tourna à côté d’elle pour lui faire face. Je la regarda un instant cherchant ce que j’allais lui dire pour essayer de la convaincre de ne pas y aller et qu’elle risquait gros en y allant. Je n’étais pas très doué dans les mots et en plus dans cette situation là. Bref je finis quand même par lui dire :

«Tu sais, je ne suis pas très bon dans ce genre de situation. Je sais réconforter quelqu’un que je croise à l’extérieur un ou une ami(e) mais lorsqu’il s’agit de l’amour que quelqu’un porte envers quelqu’un je ne peux pas dire grande chose. La plupart des gens ont aimé et aime encore. Mais dans mon cas je ne sais pas vraiment ce que sais. Tu dois surment déjà le savoir, tout ceux qui ont partagé un lien avec moi, c'est-à-dire ma famille, sont tous mort sans exception. Je n’ai aucun lien de sang ou d’amour avec quelqu’un sur ce continent. Je n’ai pas d’attache sauf envers l’ordre. Je ne sais pas vraiment ce qu’es aimé quelqu’un. Je sais seulement que ce sentiment rendrait n’importe qui aveugle et stupide. La preuve ce que tu allais faire était un peu idiot car même si ils ne te voient pas ils ont différent moyen pour te trouver. Je suis désolé de devoir te dire ça mais ton mari doit surment être mort. Et même si il était vivant il ne serait surment pas ici mais plutôt dans le camp de torture qui a été détruit dans les camps d’Esperita. J’ai été informé il n’y a pas longtemps que cette emplacement avait repris de l’activité mais je ne crois pas que ton mari y serais car depuis le temps il aurait été tué lorsque le camp de torture à été délaissé comme pour les autres prisonniers. Je ne dis pas sa par plaisir ni pour te rendre plus triste je le fais pour t’ouvrir les yeux pour te faire comprendre que ton mari veille sur toi d’un monde meilleure, sur toi et votre fille. Mais je risquerais la vie de mes soldats pour sauver des prisonniers et dans ses prisonniers ton mari s’y trouverais. »

Et je me tus pour le moment.

Je regardai ma sœur d’arme et la pris dans mes bras lui transmettant une vague d’apaisement comme on me l’avait si bien appris. J’essayais de la réconforter du mieux que je pouvais mais comme je venais de lui dire, quand on est seule au monde ce n’est pas très facile de réconforter quelqu’un au sujet de l’amour. Ce sujet était souvent synonyme de grand bonheur ou de grande tristesse mais dans les deux cas il apportait toujours quelque chose de bien à ces personnes. Mais ceux qui ne l’avait pas vécu comme moi était condamné à vivre avec plusieurs questions sans réponses sur ce sujet. Mais en observant Liliann, ma sœur d’arme, je me dis que ce devait être quelque chose de merveilleux pour prendre autant de risque. Toujours en essayant de la réconforter je lui soufflai à l’oreille :

«La prochaine fois viens me voir, viens me parler avant de partir comme ça. Je suis aussi ton ami, je ne suis pas que le chef des chevaliers d’émeraude. Nous formons tous une famille et tu en fais partit. Aller ca va allez Lili. » Lui dis-je toujours sur le même ton de voix gentil et doux.

Je l’observai un moment en faisant de mon mieux pour la réconforter et la convaincre de repartir avec moi avant d’aller faire un geste qui pourrait lui couter la vie. Je ne dis rien d’autre pour l’instant. J’en avais dis suffisamment pour qu’elle prenne un choix et je savais qu’elle choisirais le bon choix pour l’ordre et pour sa fille qui s’en elle se retrouverait comme moi seul.

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[HRP : Je crains de ne pas faire aussi bien que vous ...]

Avant même que la femme Chevalier puisse faire quoi que ce soit, une autre lame s'interposa. Ce n'était pas celle d'un ennemis, mais celle d'un ami. Zack était arrivé, et en bon chef qu'il était il avait arrêter le supposé conflit avant que cela ne se fasse seul. Je ne pensais pas que notre Chef pouvait être ici. Avait-il vu le taxi? J'espérais que ce n'était pas le cas. Il se rapprocha et pris la parole. En s'adressant à moi. Évidemment, j'avais abaissé mon pistolet, je l'avait même rangé doucement en gardant le regard dans celui de mon interlocuteur. interlocuteur, qui me sermonnerait certainement, que ce soit ici et maintenant ou au Front et plus tard.

- Que fais-tu la jeune inconscient? Ne sais-tu pas que tu n’es pas prêt pour être ici? Et si je me souviens bien nous ne sommes pas là pour causer des problèmes. Alors pourquoi avoir fait fondre les pneus de la voiture?

Je ne savais pas quoi dire, comme si les mots avait subitement quitter ma bouche. De plus, même si je cherchais mes mots, il ne s'occupait plus vraiment de moi et était tourné vers l'Elfe. Il la sermonna presque, mais cela ne dura pas si longtemps. Après ses paroles, je compris qu'il attendait une réponse venant de l'un au l'autre. Cependant, mes mots n'étaient toujours pas revenus et Liliann pris la parole pour s'expliquer. Moi même j'ignorais la raison de sa présence, car Zack était intervenu. J'écoutai donc toute l'explication. Maintenant que j'y pensais, pourquoi est-ce que MOI j'étais là? Non c'est je l'ignorais. J'avais seulement la certitude qu'il fallait que je viennes à cet endroit précis. Suite à son récit, Liliann se mise à pleurer. En réponse à cela, Zack tenta quelque chose et s'arrêta pour se tourner vers moi. Il se rabaissa à ma hauteur, car il était bien grand, et me dit :

- Va m’attendre plus loin. Nous continuerons cette discussion plus tard. Mais ne vas pas trop loin je ne voudrais pas qu’il t’arrive quelque chose.

Aller l'attendre plus loin? D'accord. Cependant, on m'avait premièrement dit de m'expliquer puis repartir au Front. Chose que je n'avait pas pus faire pour cause de l'intervention du Chef. Ensuite, de m'expliquer, encore une fois, par contre sans précision pour la suite. Maintenant, on me demandais d'aller attendre plus loin afin que la discussions continue par après. De toute façon, je me sentais mal à l'aise, devant cette adulte qui pleurait, et notre Chef qui tentait de la réconforter. Je m'étais donc éloigné, laissant les Chevaliers faire ce qu'ils avaient à faire...Oui, c'est sûr, c'est plus calme, et moins embarrassant. Cependant, c'est véritablement ennuyeux, de rester à l'écart, à attendre un sermon venant du Grand Chef Militaire des "Gentils". Jamais je n'aurais crus me retrouver dans une telle situation. Allait-il commencé avec le taxi, ou le fait que je sois à Opale? Peu importe la réponse à cette question, j'allais être dans la m**** jusqu'au cou... Je restais donc, à plus environ 10 mètres d'eux, accoté sur un arbre et écoutant les bruit de la forêt.

Et voilà que je devenais pleurnicharde. Comment pouvais-je l'être dans un moment pareille. Larmes traitresses, comment pouvais-je maintenant caché ma peine? C'était un peu dur, j'avais tout de même tout dit en un soupir. Stupide,conne voilà ce que j'étais.Comment pouvais-je devenir si faible tout d'un coup. J'avais remarquer que Zack c'était assuré que l'écuyer soit plus loin. Qu'allait-il lui dire? Que j'étais une tête en l'air, que j'en faisait qu'à ma tête? Que je ne l'écoutais jamais, que je méritais pas sa confiance? J'étais une bonne à rien?

Voilà ce que j'aurais dû recevoir pour mon initiative qui aurait pu amener à ma perte mais voilà qu'il me sortait un beau discours tel que:

« Lili...Je...Je suis désolé pour ce qui c’est passé. Même si je ne suis pas le plus habile dans ce genre d’histoire je sais que tu ne dois pas garder sa pour toi ou rester seule. Il faut nous parler quand tu te sens triste.»

C'est sûr, je vais le crier sur les toits en disant: Je suis la reine du monde... Ils vont me prendre pour une dingue ou même me dire que c'est tout simplement pas moi. Mais tout de même, à cette idée, déjà un demi sourire s'affichait sur mes lèvres. J'avais encore des remontrances du chef des chevaliers d'Émeraude. Parler, vider mon sac n'avait jamais été une chose facile pour moi, du moins, la seule personne qui avait toujours le moyen de le faire n'était peut-être plus de ce monde. Quel belle exemple je donnais à ma fille...Mais tout de même, il ajouta:

«Tu sais, je ne suis pas très bon dans ce genre de situation. Je sais réconforter quelqu’un que je croise à l’extérieur un ou une ami(e) mais lorsqu’il s’agit de l’amour que quelqu’un porte envers quelqu’un je ne peux pas dire grande chose. La plupart des gens ont aimé et aime encore. Mais dans mon cas je ne sais pas vraiment ce que sais. Tu dois surment déjà le savoir, tout ceux qui ont partagé un lien avec moi, c'est-à-dire ma famille, sont tous mort sans exception. Je n’ai aucun lien de sang ou d’amour avec quelqu’un sur ce continent. Je n’ai pas d’attache sauf envers l’ordre. Je ne sais pas vraiment ce qu’es aimé quelqu’un. Je sais seulement que ce sentiment rendrait n’importe qui aveugle et stupide. La preuve ce que tu allais faire était un peu idiot car même si ils ne te voient pas ils ont différent moyen pour te trouver. Je suis désolé de devoir te dire ça mais ton mari doit surment être mort. Et même si il était vivant il ne serait surment pas ici mais plutôt dans le camp de torture qui a été détruit dans les camps d’Esperita. J’ai été informé il n’y a pas longtemps que cette emplacement avait repris de l’activité mais je ne crois pas que ton mari y serais car depuis le temps il aurait été tué lorsque le camp de torture à été délaissé comme pour les autres prisonniers. Je ne dis pas sa par plaisir ni pour te rendre plus triste je le fais pour t’ouvrir les yeux pour te faire comprendre que ton mari veille sur toi d’un monde meilleure, sur toi et votre fille. Mais je risquerais la vie de mes soldats pour sauver des prisonniers et dans ses prisonniers ton mari s’y trouverais. »

Oh oh oh! non essayé pas, ce n'est pas le père noël qui arrive. Je demeure surprise de la réaction de Zack. J'avais oublié ce petit détail de sa vie. Il n'avait pas vécu l'amour, il ne pouvait donc pas comprendre dans quel état je me trouvais présentement. Mais, je savais qu'un jour, il comprendrait. Un jour quand il rencontrera celle qui réussira à faire battre son coeur et qu'elle lui soit enlevé aussi durement, il comprendrait réellement la fois ou moi, Liliann qui demeure dure et directe,pouvait s'effondrer juste à penser à ce qu'il allait arrivé. Je le savais, j'avais mon intuition et étrangement, elle m'avait guidé jusqu'ici. Comme si mon mari m'avait appeler du haut de cette tour. Mais avant même que je puisse répondre quoi que ce soit, il me prit dans ses bras tout en m'envoyant une vague d'apaisement. Surprise, je demeurais débutative. J'hésitais à le repousser ou accepter cette échange. Il ajouta:

«La prochaine fois viens me voir, viens me parler avant de partir comme ça. Je suis aussi ton ami, je ne suis pas que le chef des chevaliers d’émeraude. Nous formons tous une famille et tu en fais partit. Aller ca va allez Lili. »

Comment je devais réagir maintenant? Oublier mon mari car il avait de forte chance qui soit mort? Reste qu'il y a un petit 1% qu'il soit vivant. Mais j'appréciais tout de même les paroles de Zack. C'était le câlin que je n'aimais pas trop. J'avais l'impression de laisser entrer quelqu'un d'autre dans mon coeur et sa, il en était pas question. Seulement Deamar comptait, seulement lui pouvait faire battre mon coeur à une vitesse folle. Alors pourquoi diable le fait d'être dans les bras de Zack me rendait dans cette état?

Contrairement à ce que je voulais laisser paraître,je me défi de l'étreinte tranquillement et ajouta:

-Merci Zack, je vais en tenir compte. Ca va, je vais remettre sa à plus tard. Je le sais qu'il est vivant. Je le sais car je le sens. Je sais pas pourquoi mais c'est devenu de plus en plus immense comme sensation ces derniers temps et je crois sincèrement qu'il est vivant et qu'il est dans cette tour. Mais, je ne compte pas y aller ce soir, je vais attendre le bon moment et je ne ferais plus de folie. C'est promis ok?

Je lui souris, essuya les dernières larmes et pris une profonde respiration avant d'ajouter:

-Je crois qu'il est temps que l'on retourne au Front avant de ce faire attraper par des assassins à la solde de Ceros. Ce serait d'ailleurs, pas un très bon exemple pour l'écuyer.

Je lui fis un clin d'oeil, tentant d'agir normalement. J'avais besoin de solitude. J'avais besoin de me changé les idées afin de remettre mes idées claires. J'attendis la réponse de Zack au lieu de lui fausser compagnie.

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